Dans cet article, nous allons utiliser le gadget Search de Twitter pour afficher les tweets se rapportant au compte sélectionné.
Le paramétrage du gadget se trouve : http://twitter.com/about/resources/widgets/widget_search
Tout d'abord, créons une page HTML avec le code suivant :
Ajoutons un onglet dans le formulaire de l'entité Compte pour y insérer une Iframe.
Dans l'adresse de l'Iframe, indiquons la page précédemment créer.
Nous obtenons le résultat suivant pour le Compte nommé Microsoft.
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mardi 19 juillet 2011
jeudi 14 juillet 2011
Message d'erreur de Plugin : 0x8004416c
0x8004416c - PluginAssemblyMustHavePublicKeyToken
L'erreur "0x8004416c" survient lorsque l'assembly du Plugin n'a pas été signé.
Pour résoudre, il faut simplement signer l'assembly du Plugin correspondant.
L'erreur "0x8004416c" survient lorsque l'assembly du Plugin n'a pas été signé.
Pour résoudre, il faut simplement signer l'assembly du Plugin correspondant.
Message d'erreur de Plugin : "Impossible de se connecter au serveur distant"
Le message "Impossible de se connecter au serveur distant" indique que la connexion est perdue avec le serveur. Pour corriger ce problème, il faut modifie les paramètres TCP/IP.
1. Lancer l’éditeur de registre.
2. Naviguer jusqu'à la clé :
HKEY_LOCAL_MACHINE\SYSTEM\CurrentControlSet\Services\Tcpip\Parameters
3. Créer un clé de type DWORD nommé TcpTimedWaitDelay avec une valeur décimale de 30.
4. Créer un clé de type DWORD nommé MaxUserPort avec une valeur décimale comprise entre 5000 et 65534.
5. Redémarrer Windows.
1. Lancer l’éditeur de registre.
2. Naviguer jusqu'à la clé :
HKEY_LOCAL_MACHINE\SYSTEM\CurrentControlSet\Services\Tcpip\Parameters
3. Créer un clé de type DWORD nommé TcpTimedWaitDelay avec une valeur décimale de 30.
4. Créer un clé de type DWORD nommé MaxUserPort avec une valeur décimale comprise entre 5000 et 65534.
5. Redémarrer Windows.
Microsoft SQL Server 2008 R2 SP1
Sortie du SP1 de Microsoft Server 2008 R2.
Nouveautés du Service Pack 1:
Nouveautés du Service Pack 1:
- Vues de gestion dynamique pour une prise en charge accrue.
- FORCESEEK pour l'amélioration des performances des requêtes.
- Infrastructure DAC Fx (Data-tier Application Component Framework) pour l'amélioration des mises à niveau des bases de données.
- Contrôle de l'espace disque dans PowerPivot pour SharePoint.
- Correction de divers problèmes.
mardi 12 juillet 2011
Pour que le cloud computing tienne ses promesses...
Écrit par Guillaume Seligmann - Les Echos du 13/7/2011
Le lien
Le cloud computing, l'informatique en nuage, est notre nouvel horizon technologique, comme l'ont été avant lui la vapeur, l'électricité et l'électronique. Cette technologie nouvelle inaugure, pour le particulier comme pour l'entreprise, la possibilité d'utiliser des outils informatiques sous la forme de services (sans avoir à investir dans une infrastructure), et d'accéder à la demande à des capacités de traitement et de stockage de l'information quasi illimitées.
Mais cette révolution technologique exige en retour la maîtrise des risques liés à son adoption, en termes de sécurité et confidentialité des traitements et des données, mais aussi en termes de dépendance de l'utilisateur vis-à-vis des opérateurs de tels services. La relation entre le client et le prestataire de services de cloud computing est, de fait, très asymétrique : à l'un, le risque d'être coupé de son outil informatique, le risque de perdre des données précieuses pour son activité, de voir des tiers y avoir accès sans autorisation, de ne pouvoir les récupérer à loisir ; à l'autre, le pouvoir de celui qui offre ses services à des milliers (des millions) d'utilisateurs, le contrôle quasi exclusif des éléments de preuve, la limitation contractuelle de sa responsabilité. En théorie, la négociation du contrat doit compenser ces failles par des garanties conventionnelles. En pratique, la question ne se pose guère pour les consommateurs et les PME, qui en sont le plus souvent réduits à accepter sans aucune négociation (et parfois sans le lire) le contrat proposé par le prestataire.
Dans tous les cas, les délais et les coûts d'une approche judiciaire en cas de problème rendent presque illusoire de se fonder sur la seule force du contrat. Dès lors, soumettre les contrats de cloud computing à la seule liberté contractuelle des parties - autre manière d'appeler la raison du plus fort dans une relation aussi asymétrique -constitue une hypothèque sur le développement de cette technologie.
C'est pourquoi la liberté contractuelle en matière de cloud computing - dont la préservation est évidemment essentielle en termes commerciaux comme en termes d'innovation -doit être encadrée par un ensemble normatif adapté, dont les traits essentiels pourraient être les suivants :
1. Obligation de transparence.
L'utilisateur du service doit être en mesure de connaître, dès le stade de l'offre, les engagements du prestataire en matière de disponibilité, de sécurité, de confidentialité et d'intégrité des données et traitements qui lui sont confiés.
2. Obligation de signaler les incidents affectant la disponibilité des systèmes ou l'intégrité des données de l'utilisateur.
Ce dernier doit pouvoir identifier les données et opérations affectées, de manière à prendre les mesures qui s'imposent.
3. Obligation de restitution des données.
L'utilisateur doit avoir la garantie de pouvoir récupérer ses données à tout moment et dans un format ouvert (interopérable).
4. Obligation de contrôle par un tiers.
Les obligations légales auxquelles l'utilisateur est lui-même soumis mais aussi la confiance de tiers dans les traitements opérés dans le nuage exigent le contrôle, par un tiers indépendant, des conditions de fourniture du service.
5. Compétence du juge de l'utilisateur.
La faculté pour l'utilisateur de services de cloud computing de porter le litige devant son juge national et la faculté pour ce juge d'ordonner des mesures efficaces sont requis pour rééquilibrer la relation contractuelle.
Idéalement, cet ensemble normatif devrait être mis en place à l'échelle européenne. Il recevrait de ce seul fait une force incitative globale, ne serait-ce qu'en raison de la masse critique des acteurs (et notamment des grands utilisateurs) installés en Europe. L'exemple de la législation sur la protection des données personnelles, qui conduit nombre de pays du monde à aligner progressivement leur législation sur celles des pays européens, est à cet égard éloquent.
Ce n'est qu'au prix du caractère contraignant de l'ensemble normatif que nous appelons de nos vœux, et - puisqu'il n'est pas de droit sans juge -de la possibilité d'un recours effectif de l'utilisateur devant sa juridiction naturelle (locale), que le cloud computing tiendra toutes ses promesses.
Le lien
Le cloud computing, l'informatique en nuage, est notre nouvel horizon technologique, comme l'ont été avant lui la vapeur, l'électricité et l'électronique. Cette technologie nouvelle inaugure, pour le particulier comme pour l'entreprise, la possibilité d'utiliser des outils informatiques sous la forme de services (sans avoir à investir dans une infrastructure), et d'accéder à la demande à des capacités de traitement et de stockage de l'information quasi illimitées.
Mais cette révolution technologique exige en retour la maîtrise des risques liés à son adoption, en termes de sécurité et confidentialité des traitements et des données, mais aussi en termes de dépendance de l'utilisateur vis-à-vis des opérateurs de tels services. La relation entre le client et le prestataire de services de cloud computing est, de fait, très asymétrique : à l'un, le risque d'être coupé de son outil informatique, le risque de perdre des données précieuses pour son activité, de voir des tiers y avoir accès sans autorisation, de ne pouvoir les récupérer à loisir ; à l'autre, le pouvoir de celui qui offre ses services à des milliers (des millions) d'utilisateurs, le contrôle quasi exclusif des éléments de preuve, la limitation contractuelle de sa responsabilité. En théorie, la négociation du contrat doit compenser ces failles par des garanties conventionnelles. En pratique, la question ne se pose guère pour les consommateurs et les PME, qui en sont le plus souvent réduits à accepter sans aucune négociation (et parfois sans le lire) le contrat proposé par le prestataire.
Dans tous les cas, les délais et les coûts d'une approche judiciaire en cas de problème rendent presque illusoire de se fonder sur la seule force du contrat. Dès lors, soumettre les contrats de cloud computing à la seule liberté contractuelle des parties - autre manière d'appeler la raison du plus fort dans une relation aussi asymétrique -constitue une hypothèque sur le développement de cette technologie.
C'est pourquoi la liberté contractuelle en matière de cloud computing - dont la préservation est évidemment essentielle en termes commerciaux comme en termes d'innovation -doit être encadrée par un ensemble normatif adapté, dont les traits essentiels pourraient être les suivants :
1. Obligation de transparence.
L'utilisateur du service doit être en mesure de connaître, dès le stade de l'offre, les engagements du prestataire en matière de disponibilité, de sécurité, de confidentialité et d'intégrité des données et traitements qui lui sont confiés.
2. Obligation de signaler les incidents affectant la disponibilité des systèmes ou l'intégrité des données de l'utilisateur.
Ce dernier doit pouvoir identifier les données et opérations affectées, de manière à prendre les mesures qui s'imposent.
3. Obligation de restitution des données.
L'utilisateur doit avoir la garantie de pouvoir récupérer ses données à tout moment et dans un format ouvert (interopérable).
4. Obligation de contrôle par un tiers.
Les obligations légales auxquelles l'utilisateur est lui-même soumis mais aussi la confiance de tiers dans les traitements opérés dans le nuage exigent le contrôle, par un tiers indépendant, des conditions de fourniture du service.
5. Compétence du juge de l'utilisateur.
La faculté pour l'utilisateur de services de cloud computing de porter le litige devant son juge national et la faculté pour ce juge d'ordonner des mesures efficaces sont requis pour rééquilibrer la relation contractuelle.
Idéalement, cet ensemble normatif devrait être mis en place à l'échelle européenne. Il recevrait de ce seul fait une force incitative globale, ne serait-ce qu'en raison de la masse critique des acteurs (et notamment des grands utilisateurs) installés en Europe. L'exemple de la législation sur la protection des données personnelles, qui conduit nombre de pays du monde à aligner progressivement leur législation sur celles des pays européens, est à cet égard éloquent.
Ce n'est qu'au prix du caractère contraignant de l'ensemble normatif que nous appelons de nos vœux, et - puisqu'il n'est pas de droit sans juge -de la possibilité d'un recours effectif de l'utilisateur devant sa juridiction naturelle (locale), que le cloud computing tiendra toutes ses promesses.
jeudi 7 juillet 2011
Correctif cumulatif 2 pour Microsoft Dynamics CRM 2011
Version: 05.00.9688.1155
- Migration POC
- Optimisation mémoire lors de l'affichage de liste
- Workflow
- Migration depuis CRM 4.0
- Fonctionnement avec Internet Explorer 9
- Plusieurs entités personnalisées avec une relation activité
- Performance réduite depuis le client Outlook
- Email de désinscription
- Ajout d'utilisateur
- Service asynchrone
- Détection de doublon
- Aperçu du formulaire
- Ruban
- Rôle
- Import d'organisation
- Affichage de sous-grille
- Exécution de plug-ins de plus de 6750 Ko
vendredi 1 juillet 2011
Correctif cumulatif 18 pour Microsoft Dynamics CRM 4.0
Version: 04.00.7333.3531
- Suivis d'emails à l'aide du client Outlook.
- Gestionnaire de déploiement.
- Création de services.
- Adresses email dans un rendez-vous.
- Export Excel d'une requête issue de la recherche avancée.
- Affichage des activités de workflow personnalisées.
- Action Enregistrer et nouveau.
- Suivi d'emails.
- Modification en masse d'incidents.
- Export/Import de données.
- Page de recherche.
mercredi 29 juin 2011
Examens et certifications CRM 2011
Examens :
MB2-866 : Microsoft Dynamics CRM 2011 Customization and Configuration.
MB2-867 : Microsoft Dynamics CRM 2011 Installation and Deployment.
MB2-868 : Microsoft Dynamics CRM 2011 Applications.
Certifications :
Microsoft Dynamics Certified Technology Specialist
Microsoft Certified IT Professional – Applications for Microsoft Dynamics CRM 2011
Microsoft Certified IT Professional – Developer for Microsoft Dynamics CRM 2011
Microsoft Certified IT Professional – Installation and Deployment for Microsoft Dynamics CRM 2011
MB2-866 : Microsoft Dynamics CRM 2011 Customization and Configuration.
MB2-867 : Microsoft Dynamics CRM 2011 Installation and Deployment.
MB2-868 : Microsoft Dynamics CRM 2011 Applications.
Certifications :
Microsoft Dynamics Certified Technology Specialist
Microsoft Certified IT Professional – Applications for Microsoft Dynamics CRM 2011
Microsoft Certified IT Professional – Developer for Microsoft Dynamics CRM 2011
Microsoft Certified IT Professional – Installation and Deployment for Microsoft Dynamics CRM 2011
Lien avec la CAO - suite
Cette article est la suite de l'article Lien avec la CAO.
Nous allons utiliser l'ActiveX Autodesk Design Review pour afficher des éléments 3D au format DWF dans un onglet d'un produit.
Le composant de visualisation DWF est disponible ici.
Créer une page html appelant l'ActiveX Autodesk Design Review. Cette page est ensuite chargée dans une iframe de l'entité Produit.
Nous allons utiliser l'ActiveX Autodesk Design Review pour afficher des éléments 3D au format DWF dans un onglet d'un produit.
Le composant de visualisation DWF est disponible ici.
Créer une page html appelant l'ActiveX Autodesk Design Review. Cette page est ensuite chargée dans une iframe de l'entité Produit.
vendredi 10 juin 2011
Lien avec la CAO
Le premier éditeur de logiciels de CAO est Autodesk.
Créer un onglet DWF dans l'entité Pièce.
Ajouter dans cette onglet, un IFrame avec comme URL :
http://freewheel.labs.autodesk.com/dwf.aspx?path= + chemin d'un fichier DWF
Ne pas oublier de décocher la case Restreindre les scripts sur plusieurs cadres.
L'exemple d'un fichier DWF 2D avec le chemin : http://freewheel.labs.autodesk.com/sample/Hotel5.dwf.
Les fonctionnalités 2D de la visionneuse sont disponibles : exemple du zone.
Autre exemple d'un fichier DWF 3D : http://freewheel.labs.autodesk.com/sample/CompositeSuspension.dwf.
Les fonctionnalités 3D de la visionneuse sont disponibles : exemple de la rotation.
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