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mercredi 21 septembre 2011

285 millions d'euros pour Andromède, le cloud souverain français

Le monde du Cloud - Edition du 21/09/2011

En regroupant trois des acteurs de l'industrie numérique en France, le gouvernement entend préserver la sécurité et la confidentialité de ses données avec Andromède, son projet de cloud souverain.
Pour concurrencer les principaux clouds publics d'origine américaine, IBM, HP, Microsoft, Amazon Web Services ou Rackspace et surtout échapper au fameux Patriot Act US, la France aura son cloud public national : un projet baptisé Andromède et lancé en 2009 par François Fillon. Le 18 janvier 2010, le premier ministre déclarait : « Mon souhait est que ce nouveau type d'infrastructure de service fasse l'objet d'un partenariat public-privé grâce aux fonds du programme pour les investissements d'avenir. Il faut absolument que nous soyons capables de développer une alternative française et européenne dans ce domaine, qui connaît un développement exponentiel [...] Force est de constater que les Nord-Américains dominent ce marché, qui constitue pourtant un enjeu absolument majeur pour la compétitivité de nos économies, pour le développement durable et même, j'ose le dire, pour la souveraineté de nos pays ».

En partie financé par le grand emprunt, ce cloud souverain a été relancé en aout dernier avec la signature d'un protocole d'accord entre la Caisse des Dépôts, et ses partenaires privés France Telecom/Orange, Thalès et Dassault Systèmes alors que Capgemini a préféré se retirer du projet. La Caisse des Dépôts investira 135 millions d'euros, France Telecom et Thales apporteront 60 millions chacun et Dassault Systèmes 30 millions, rapporte le quotidien Les Échos.

Un cloud souverain pour réduire les coûts des SI de l'Etat ?

Pour réduire les coûts de fonctionnement de ses systèmes d'informations - la principale mission de Jérôme Filippini, le directeur interministériel des systèmes d'information et de communication - l'État est bien obligé de mettre en place les recettes qui fleurissent dans le privé. Mais pour garantir la sécurité et la confidentialité des données, le gouvernement a décidé de confier ces infrastructures stratégiques à 3 groupes bien français. Nulle dimension européenne dans ce projet, alors que la standardisation des infrastructures cloud au niveau continental est le seul moyen de proposer des plates-formes aussi compétitives que celles d'Amazon ou de Microsoft. Si le projet Andromède n'est qu'un nouvel avatar du génie français qui consiste à faire plus cher et moins interopérable, les objectifs de réduction des coûts vont passer à la trappe au profit du discours habituel sur l'excellence française.

Selon Les Échos, « Orange fournira les infrastructures en colocation à Andromède et l'ensemble de la connectivité nécessaire aux clients d'Andromède ». La partie sécurité sera assurée par Thalès, une de ses spécialités. On ne sait pas encore quelle sera la contribution technologique de Dassault Systèmes, pas vraiment un poids lourd du cloud computing. « Ca avance dans le bon sens, mais on ne peut ne rien dire de plus pour l'instant», nous a simplement confié un porte-parole de Dassault Systèmes.

Enfin selon une source syndicale, le projet Andromède concernera tout d'abord « le domaine de l'e-santé, des données personnelles, mais aussi d'accueillir les données de type e-gouvernement ».

samedi 3 septembre 2011

Le marché du Social CRM : 1 Milliard de dollars dans un an

Selon Gartner, et vous comment intégrez-vous les réseaux sociaux à votre CRM ?

Au risque d’enfoncer une porte ouverte : les réseaux sociaux sont de plus en plus importants et gagnent une place prépondérante dans la société, notamment auprès des jeunes générations.

Mais Facebook, Twitter, Viadeo et autres Google+ sont aussi des outils qui intéressent d’autres personnes : les marketeurs et développeurs de solutions de type CRM. Ces réseaux, ce qui s’y dit et ce qui s’y échange ont en effet de plus en plus d’impact sur l’image d’une marque ou sur la publicité (en témoigne le concept de “viralité”).

Or jusqu’ici, ces informations de plus en plus complexes et hétérogènes (textes, photos, vidéos, liens, etc.) ne sont pas entièrement prises en compte par les outils traditionnels d’analyse. Leur modélisation en est encore à ses tout débuts. Et même si les solutions d’entreprise les intègrent de plus en plus, ces outils posent la question de leur retour sur investissement. Autrement dit, comment ce que l’on appelle déjà le Social CRM (analyse des réseaux, animations, création de communautés, etc) peut-il générer des retombées financières tangibles ?

Certains pensent que ce marché n’est pas encore mûr et mettra du temps à le devenir. Ce n’est pas l’avis du cabinet Gartner qui vient de publier une étude entièrement dédiée au Social CRM. Au delà des conseils aux éditeurs du secteur pour survivre aux mouvements de concentration et à la diversification qui s’annoncent, l'enseignement principal est que ce marché devrait générer un milliard de dollars dès l’année prochaine (contre 820 millions cette année et 625 l’année dernière).

Même s’il ne représente aujourd’hui que 5% des CRM en général, le Social CRM connaît un taux de croissance annuel à deux chiffres. Ces outils devraient donc rapidement gagner leurs lettres de noblesse.

Il n’en reste pas moins que beaucoup de décideurs considèrent avec méfiance les réseaux sociaux et ces outils. Et pour cause, étude de Gartner ou pas, le Social CRM a encore beaucoup à prouver pour faire ses preuves.

Et notamment son efficacité grâce à des produits de référence.

http://www.developpez.com/actu/36558/Le-Social-CRM-1-Milliard-de-dollars-dans-un-an-selon-Gartner-et-vous-comment-votre-CRM-integre-t-il-les-reseaux-sociaux/

mardi 30 août 2011

Mise à jour du SDK pour CRM 2011: 5.0.6

Version: 5.0.6

 Mise à jour d'articles :
- Utilisation de Windows Azure AppFabric Access Control Services.
- Maintenir une solution managée.
- Recommendation d'utilisation des web ressource PNG comme icônes.
- Supporte l'utilisation de jQuery.
- Utilisation de la méthode setVisible.

Mise à jour des outils :
- PluginRegistration : ajout le support pour Windows Azure AppFabric Access Control Services.
- Fichier Helper Microsoft Visual Basic .NET : utilisation des énumérations pour les listes, statut et raison du statut.
- Plug-in Profiler Tool : Ajoute une documentation.

Mise à jour des exemples de code :
- Suppression de la référence SolutionComponentType.
- Association de rôle.
- Utilisation du PostWorkflowEvent dans les messages PropagateByExpressionRequest et CreateActivitiesListRequest.
- Fonction getODataUTCDateFilter.

vendredi 26 août 2011

Les Européens doivent faire cause commune dans le cloud computing

Les Echos du 26/08/2011


Joseph Reger est directeur technique de Fujitsu Technology Solutions

Ces dernières années, le cloud computing a été au cœur de nombreuses discussions, notamment au sein de l'Europe. Aujourd'hui, le nombre de mises en application concrètes par des utilisateurs s'accroît considérablement. Aussi, petit à petit, l'industrie montre que cette technologie est prête à se développer dans de nombreux contextes ainsi que dans différents secteurs d'activité. Cependant, une chose est claire : sans les actions concertées des fabricants et sans des conditions de base régulées de manière unifiée partout en Europe, le marché de ce côté de l'Atlantique risque de rester à la traîne derrière le marché américain. Si nous n'unissons pas nos forces, le cloud européen ne sera jamais une réalité concrète.

Heureusement, les dirigeants politiques européens semblent avoir compris qu'il est important d'agir rapidement. Dans le discours qu'elle a tenu à l'occasion du Forum économique mondial à Davos en début d'année, la commissaire européenne Neelie Kroes a insisté sur la nécessité, dans le contexte de l'agenda numérique pour l'Europe, de mettre en place une stratégie de cloud computing à l'échelle européenne. Il s'agit maintenant de savoir quand nous serons en mesure de mettre en pratique ces bonnes intentions. L'espace économique européen est un système complexe, qui comprend un grand nombre de pays et donc tout autant de parties prenantes. Construire une infrastructure unifiée et stable : tel est donc le grand défi qui nous attend. Et, pour ce faire, un certain nombre de conditions doivent être remplies.

Notons, avant tout, la nécessité d'une législation unifiée concernant la gestion des données dans le  cloud. La législation locale est aujourd'hui diamétralement opposée à l'idée de clouds transnationaux, que ce soit au niveau européen ou mondial. Au niveau européen, la tendance à la fragmentation devient un inconvénient majeur, au regard de la concurrence et de la situation géographique. Une législation moderne à l'échelle européenne est donc indispensable, par exemple en termes de conformité et de sécurité. Doit-on vraiment empêcher toutes les données brutes de quitter le pays, ou doit-on plutôt veiller à conserver les informations vraiment stratégiques à l'intérieur de nos frontières ? Dans le cas de données cryptées, par exemple, les informations sont inutiles sans la clef permettant de les déverrouiller ; par conséquent, quelle importance peut bien avoir l'emplacement physique dans lequel ces données sont stockées ?

Dans le même temps, les fabricants doivent également établir des normes communes, en collaboration avec les gouvernements et les autorités de régulation. En effet, l'absence de normes complique la tâche des utilisateurs précoces du  cloud  car ces derniers font face à des besoins d'intégration accrus et à des coûts imprévisibles. Cette situation risquerait de les décourager dans leur volonté d'utiliser les services du  cloud. De telles normes renforceraient aussi la fiabilité et l'acceptation du  cloud  sur le marché, renforçant donc ainsi le marché lui-même.

Parallèlement, nous devons trouver une solution à un autre problème : à quoi bon créer des normes si personne ne veille à ce qu'elles soient respectées ? Cet aspect est en effet également capital pour la mise en place d'un « cloud » européen. Et c'est pour cette raison que nous avons besoin d'autorités de certification indépendantes. Les autorités de certification offrent les moyens et les compétences nécessaires pour faire respecter ces normes, et doivent être reconnues et acceptées par un public aussi large que possible. Elles doivent être réputées, et peuvent même nécessiter l'approbation d'une autorité gouvernementale.

Nous sommes donc face à un paradoxe. D'un côté, le monde a peur de Big Brother et, de l'autre, une grande partie de la population a cette croyance inébranlable que les autorités gouvernementales prendront les bonnes mesures. Dans ce débat, les autorités, les institutions et les gouvernements doivent donner l'exemple à l'économie ; quant aux entreprises, elles doivent déployer elles-mêmes leurs services  cloud  et trouver le moyen de les intégrer à leur parc informatique. Lorsque quelque chose ne fonctionne pas, les entreprises doivent cesser de demander pourquoi aux autorités et découvrir par elles-mêmes une solution au problème. Dans cinq ans, de nombreuses entreprises ne se demanderont plus quels services peuvent être utilisés depuis le  cloud , mais quels services ne peuvent pas l'être. Bien évidemment, des arguments économiques concrets sont également en faveur de ce modèle. Si nous réussissons à créer ces conditions, le  cloud européen présentera un réel avantage compétitif : il offrira la fiabilité et la sécurité, qui constituent les deux critères principaux pour l'utilisateur.

Guides utilisateur et administrateur CRM 2011

Publication de deux documents :
- Guide utilisateur
- Guide administrateur

Mise à jour du guide d'implémentation CRM 2011

Version 5.2.0

http://www.microsoft.com/download/en/details.aspx?id=27119

Correctif cumulatif 19 pour Microsoft Dynamics CRM 4.0

Version:  04.00.7333.3628
  • Fonctionnement du champ de contrôle de date avec IE 9.
  • Compression entre le client CRM pour Outlook et les services Web CRM.
  • Suivi des messages électroniques créés par les logiciels RightFax.
  • Blocage d'IE lors du clique Fusion et publipostage dans une liste marketing.
  • Utilisation de la méthode openObj() pour ouvrir un formulaire CRM dans une page personnalisée.
  • Enregistrement ou mise à jour d'un rendez-vous dans CRM.
  • Affichage des contrats actifs dans le concepteur de workflow.
  • Détection des doublons sur les contacts et les comptes.
  • Définition du concernant dans le client Outlook.
  • Mise à niveau du client Outlook CRM 4.0 vers le client Outlook CRM 2011.

lundi 15 août 2011

Changer la couleur et la police du texte de l'intitulé d'un attribut

Comme exemple, nous allons changer la couleur et la police de l'intitulé du champ Téléphone principal de l'entité Compte.

Dans la personnalisation du formulaire de l'entité compte, insérer dans le OnLoad le code:
document.all.telephone1_c.style.color = 'red';
document.all.telephone1_c.style.fontWeight = 'bold';

Nous obtenons le formulaire pour l'entité Compte.

samedi 6 août 2011

Erreur : le service de suppression n'a pas pu nettoyer les tables Asyncoperation

Lorsque vous exécutez Microsoft Dynamics CRM 4.0, la table AsyncOperationBase s'agrandit pour être très volumineux. Lorsque la table contient des millions d'enregistrements, les performances sont lentes.

De plus, des erreurs sont enregistrées sur le serveur Microsoft Dynamics CRM dans le journal des événements applications.

Nettoyage manuel des tables Asyncoperation.
http://support.microsoft.com/kb/968520/fr

Activation du service de suppression des tables Asyncoperation.
http://support.microsoft.com/kb/974896/fr

Développer avec le Framework xRM : conseils, astuces et bonnes pratiques

http://www.xrmvirtual.com/events/tips_and_tricks_CRM2011


Se former sur Dynamics CRM
- Planification
- Files d'attente
- Listes marketing
- Réorientation des entités
- Gestion de la sécurité
- Les utilisateurs peuvent avoir des fonctionnalités complétement différentes
- Gestion des doublons

Les projets ne sont pas tous xRM.

Penser xRM
-Déterminer le x dans ton xRM.
-Le x est normalement le nœud central de ton application

Bonnes pratiques
- Éviter d'utiliser du JavaScript qui appelle le serveur.
- Utiliser les Plug-ins PreCreate et PreUpdate.
- Modifier une entité sur le déclenchement de Plug-ins.
- Renseigner ou valider les champs à travers des Plug-ins.
- Établir des projets standards.
- Inclure des commentaires dans le code des Plug-ins.
- Ne pas sur dimensionner.
- Utiliser des messages d'exception personnalisés pour la validation.
- Utiliser des Plug-ins Asynchrones pour lancer des longs traitements.
- Enregistrer les résultats du Plug-in dans une entité.
- Générer les classes des entités avec CRMSVCUtil.
- Étendre les classes des entités pour un code réutilisable.
- Faire une bonne gestion du cache des Plug-ins.

Nettoyer le cache
public static void ClearCache(string entityName)
{
 const string format ="adxdependency:crm:entity:{0}";
 var dependency = string.Format(format,entityName).ToLower();
 var cache = Microsoft.Xrm.Client;Caching.CacheManager.GetBaseCache();
 cache.Remove(dependency);
}

- Créer des relations par ID non par objet
A la place de Account.PrimaryContact=ContactEntity utiliser Account.PrimaryContactId=Contactentity.ContactID

- Suivre les changements de personnalisation
- Planifier à l'avance
- Créer des checklists du déploiement
- Utiliser une seule organisation de développement pour le déploiement
- Enregistrer les Plug-ins dans la base de données.
- Enregistrer les Dlls dans le GAC.
- Placer tous les points de terminaisons et les fichiers de configuration Async.

Non supporté
- Documenter les modifications non supportées
- Les niveaux : Modification d'interface, changement de code
- Important pour les mises à jour

Débogage du CRM
- Visual Studio Remote Debugger
- Activer les fichiers de trace avec CRMDiagTool