Par segment, trois composantes fonctionnelles du CRM, ventes, marketing, et gestion client, ont réalisé une croissance à deux chiffres en 2011. La partie centre de contact, en baisse de 3,6% en 2010, récupère son retard. Plus généralement, note Mary Wardley, vice-présidente du cabinet, chargée du CRM, ce marché s'élargit et connaît un regain performances organisationnelles. Les réseaux sociaux et la mobilité apportent une modification des expériences. « Par conséquent, note Mary Wardley, nous allons aboutir à une modernisation du processus orientés clients, ce qui implique un investissement accru dans le soutien des systèmes tels que les applications de CRM. »
IDC a également étudié les fournisseurs de CRM. 18 d'entre eux figurent dans l'étude. Ils réalisent 63% du marché, le reste s'éparpille entre 170 sociétés. Oracle garde la tête du classement, sa croissance est supérieure à la moyenne, c'est le seul à détenir une part de marché à deux chiffres : 13,2%. Pour la 1ère fois, SalesForce est n°2 avec 22,6% de croissance. SAP et NICE Systems étaient les autres fournisseurs qui ont connu la plus forte croissance
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vendredi 6 janvier 2012
Le marché du CRM en pleine croissance en 2011 selon IDC
Le Monde Informatique - 06/01/2012
Le marché mondial du CRM devrait atteindre 18,2 milliards de dollars en 2011, en croissance annuelle de 11%, estime le cabinet IDC. Les places sont chères, si Oracle demeure n°1, SalesForce décroche la deuxième place.
Nuage, une alternative cloud au projet Andromède
Le Monde Informatique - 06/01/2012
Plus discret que son concurrent Andromède, le projet de cloud computing Nuage est porté par 7 PME et 2 équipes d'un laboratoire français. Un projet de R&D à forte connotation Open Source sur 2 ans doit aboutir à la création d'un pilote. 10 millions d'euros vont être investis sur Nuage.
Dans l'appel d'offres relatif au cloud computing au sein du Grand Emprunt, le projet Nuage décide de sortir de l'ombre et de communiquer. Il est composé de 7 PME : Celeste, FAI et concepteur de datacenter ; Non Stop Systems, SSII spécialisée en solutions d'infrastructures sécurisées ; Oodrive éditeur de solution professionnelles de sauvegarde et de partage de fichiers en ligne ; DotRiver qui propose des solutions de virtualisation et de centralisation de poste de travail ; Network Consulting, hébergeur ; New Generation SR, conseil en responsabilité sociale des entreprises.Deux équipes des projets REGAL (répartition et gestion des applications à large échelle) et PHARE (sur les futurs générations des réseaux télécoms) du laboratoire LIP6 de l'université Pierre et Marie Curie.
Selon Nicolas Aubé, PDG de Celeste, « l'idée est de créer le cloud computing de demain : ouvert à des composantes matérielles et logicielles externes, réparti sur un maillage régional français, et hébergé dans des datacenters écologiques, faiblement consommateurs d'énergie ». Le groupe souligne aussi l'importance de la localisation des données sur le territoire français.
Open Source et datacenter pilote
Concrétement, il s'agit d'un projet de R&D qui doit durer deux ans avec une forte connotation Open Source, pour trouver des solutions alternatives à celles existantes. Pendant cette durée, un datacenter pilote va être créé pour proposer des offres clouds. Nicolas Aubé indique « nous souhaitons travailler sur des datacenters évolutifs avec des modules verticaux optimisant mieux la consommation d'énergie. Les entreprises pourront s'interconnecter pour chercher des ressources ou des services ». Sur la partie du matériel utilisé, le dirigeant que rien n'a été encore choisi, mais il souhaite que les solutions proposées par Nuage soit compatible avec le plus grand nombre de constructeurs.
Sur le plan du financement, un investissement de 10 millions d'euros est prévu (5 en subventions de la part du FNSN de la Caisse de Dépôts et 5 de la part des membres du consortium). Nicolas Aubé rappelle que cela va créer 50 emplois, principalement des ingénieurs. Au terme des 2 ans, Celeste va investir 5 millions d'euros pour la commercialisation des résultats de Nuage. Ce dernier est un concurrent direct d'Andromède en proie à quelques difficultés de financement après le départ de Dassault Systèmes.
Selon Nicolas Aubé, PDG de Celeste, « l'idée est de créer le cloud computing de demain : ouvert à des composantes matérielles et logicielles externes, réparti sur un maillage régional français, et hébergé dans des datacenters écologiques, faiblement consommateurs d'énergie ». Le groupe souligne aussi l'importance de la localisation des données sur le territoire français.
Open Source et datacenter pilote
Concrétement, il s'agit d'un projet de R&D qui doit durer deux ans avec une forte connotation Open Source, pour trouver des solutions alternatives à celles existantes. Pendant cette durée, un datacenter pilote va être créé pour proposer des offres clouds. Nicolas Aubé indique « nous souhaitons travailler sur des datacenters évolutifs avec des modules verticaux optimisant mieux la consommation d'énergie. Les entreprises pourront s'interconnecter pour chercher des ressources ou des services ». Sur la partie du matériel utilisé, le dirigeant que rien n'a été encore choisi, mais il souhaite que les solutions proposées par Nuage soit compatible avec le plus grand nombre de constructeurs.
Sur le plan du financement, un investissement de 10 millions d'euros est prévu (5 en subventions de la part du FNSN de la Caisse de Dépôts et 5 de la part des membres du consortium). Nicolas Aubé rappelle que cela va créer 50 emplois, principalement des ingénieurs. Au terme des 2 ans, Celeste va investir 5 millions d'euros pour la commercialisation des résultats de Nuage. Ce dernier est un concurrent direct d'Andromède en proie à quelques difficultés de financement après le départ de Dassault Systèmes.
mardi 3 janvier 2012
Page Google+ sur Dynamics CRM
David Berry (MVP CRM) a créé une page sur Google+ pour Dynamics CRM.
Cette page permet de répertorier les informations diffusées sur différents canaux.
Cette page permet de répertorier les informations diffusées sur différents canaux.
mardi 27 décembre 2011
Microsoft Dynamics CRM Mobile
http://www.windowsphone.com/fr-FR/apps/632921fd-ab99-4392-822f-f0ddbdbc856e
Microsoft Dynamics CRM Mobile est une application Windows Phone 7.5 qui vous permet d’avoir accès aux informations sur les activités sur votre appareil mobile.
Les informations sur les activités Microsoft Dynamics CRM fonctionnent avec tous les modèles de déploiement de Microsoft Dynamics CRM, notamment les déploiements sur site, Microsoft Dynamics CRM Online et hébergé par un partenaire.
Microsoft Dynamics CRM Mobile est une application Windows Phone 7.5 qui vous permet d’avoir accès aux informations sur les activités sur votre appareil mobile.
Les informations sur les activités Microsoft Dynamics CRM fonctionnent avec tous les modèles de déploiement de Microsoft Dynamics CRM, notamment les déploiements sur site, Microsoft Dynamics CRM Online et hébergé par un partenaire.
vendredi 23 décembre 2011
Utilitaire de présentation : ZoomIt
http://technet.microsoft.com/en-us/sysinternals/bb897434
ZoomIt est un utilitaire résident en mémoire qui permet de zoomer à volonté sur les zones
que vous souhaitez pendant une présentation, indépendamment du logiciel utilisé.
Il peut donc être utilisé aussi pour de la formation, notamment à l'usage de
Windows et de ses logiciels. De plus un module vous permet de dessiner sur
la partie que vous avez agrandie. Pratique lors des présentations ou des
cours pour mettre en évidence certaines parties de l'écran.
Enfin, il est possible de définir un délai au bout duquel ZoomIt dé-zoomera d'elle-même.
ZoomIt est un utilitaire résident en mémoire qui permet de zoomer à volonté sur les zones
que vous souhaitez pendant une présentation, indépendamment du logiciel utilisé.
Il peut donc être utilisé aussi pour de la formation, notamment à l'usage de
Windows et de ses logiciels. De plus un module vous permet de dessiner sur
la partie que vous avez agrandie. Pratique lors des présentations ou des
cours pour mettre en évidence certaines parties de l'écran.
Enfin, il est possible de définir un délai au bout duquel ZoomIt dé-zoomera d'elle-même.
Commandes | Description |
CTRL + & | active le Zoom puis commandé par molette de la souris et son déplacement permet de naviguer dans l'écran agrandi |
CTRL + S | sauvegarder |
CRTL + C | copier |
CRTL + Z | supprime la dernière action |
CTRL | dessine un rectangle |
SHIFT | dessine une ligne |
TAB | dessine une eclipse |
ESC | efface tout |
SHIFT + CTRL | dessine une flèche |
r | couleur rouge |
b | couleur bleue |
g | couleur verte |
p | couleur rose |
y | couleur jaune |
w | écran blanc |
k | écran noir |
Le cloud computing suscite l'engouement des PME
Les Echos du 23/12/2011
Les fournisseurs de services informatiques multiplient les offensives commerciales pour séduire les petites et moyennes entreprises, souvent peu équipées en informatique, dont le profil facilite ce basculement « dans les nuages ».
http://www.kpmg.com/FR/fr/IssuesAndInsights/ArticlesPublications/Press-releases/Pages/20111208-Le-Cloud-Computing-en-voie-d-adoption.aspx
Le cloud computing progresse lentement, mais sûrement. D'après une étude récemment publiée par le cabinet KPMG, 80 % des entreprises françaises « ont ou vont démarrer » un projet de migration de leur informatique « dans les nuages » en 2012. Si l'engouement pour le « cloud computing » a tendance à se confirmer, du moins selon les études, certaines sociétés seraient plus enclines que d'autres à adopter ces nouveaux services. C'est le cas des petites et moyennes entreprises. « Il y a une plus grande réceptivité de la part des PME, comme des entreprises de taille intermédiaire, pour ce type d'offres cette année », confie Laurent Gobbi, associé et responsable de l'activité informatique chez KPMG France. « L'appétence est vraiment perceptible depuis le second semestre », ajoute Alex Rigaldo, responsable des offres cloud computing chez Orange Business Services (OBS). Les atouts naturels du cloud expliquent cet engouement.
Le concept consiste à jouir d'une puissance informatique à la demande sans avoir à investir lourdement dans des infrastructures et des logiciels, mais en s'acquittant simplement d'un forfait et en acceptant que les données soient gérées par un prestataire extérieur. « C'est tout l'intérêt du cloud pour les petites entreprises : goûter à l'informatique des grandes, mais à moindre coût », résume Hélène Auriol, directrice de la division PME-PMI chez Microsoft France. Et le géant du logiciel en profite. Au début de l'été, il a lancé Office 365, son offre de logiciels de bureautique et de collaboration dans le cloud destinée aux petites entreprises. Cinq mois plus tard, « Office 365 est en passe de devenir le service qui s'est vendu le plus rapidement en France pour Microsoft, confie Ariane Gorin, responsable de la division Office en France. Les services en mode cloud permettent aux PME de rattraper leur retard technologique, sans mobiliser toute leur trésorerie ». Le groupe américain estime que les économies générées peuvent atteindre jusqu'à 50 % du budget informatique.
Autre atout du cloud : il permet de se développer plus facilement à l'étranger. « Il n'est plus nécessaire de déployer une infrastructure technologique complète, avec des serveurs et des outils réseau, pour s'implanter sur un nouveau marché. Une connexion Internet peut suffire pour lancer une activité », explique Alex Rigaldo, chez OBS.
L'offensive des opérateurs
Microsoft n'est pas le seul à se positionner sur le créneau prometteur des PME. Les opérateurs télécoms multiplient les offensives commerciales. Fin novembre, SFR Business Team a indiqué qu'il allait démarcher plus activement les PME pour leur vendre des services en mode « cloud ». Dans la foulée, Orange Business Services présentait sa nouvelle offre de « forfait informatique », qui permet de bénéficier via une simple connexion Internet d'un système d'information complet (logiciels, applications, stockage, etc.) géré par l'opérateur. Les opérateurs profitent de la densité de leur maillage géographique et de leur proximité naturelle avec les entreprises, auxquelles ils fournissent déjà des solutions télécoms. Selon le cabinet Pierre Audoin Consultants, OBS serait ainsi le premier fournisseur de services de cloud computing en France.
Le développement de ces services soulève cependant certaines interrogations dans les PME. Celles-ci s'inquiètent notamment de la sécurité des données. « C'est assez paradoxal, remarque pourtant Hélène Auriol, chez Microsoft. Car en migrant dans le cloud, les PME vont bénéficier d'un dispositif de sécurité plus important que ce dont elles disposaient auparavant, avec des technologies mises à jour régulièrement. » Chez Orange, on met l'accent sur la transparence des offres pour tenter de rassurer les entreprises. « Nous pouvons assurer aux clients que leurs données informatiques sont hébergées sur les data centers du groupe, en France », précise Alex Rigaldo.
Les fournisseurs de services informatiques multiplient les offensives commerciales pour séduire les petites et moyennes entreprises, souvent peu équipées en informatique, dont le profil facilite ce basculement « dans les nuages ».
http://www.kpmg.com/FR/fr/IssuesAndInsights/ArticlesPublications/Press-releases/Pages/20111208-Le-Cloud-Computing-en-voie-d-adoption.aspx
Le cloud computing progresse lentement, mais sûrement. D'après une étude récemment publiée par le cabinet KPMG, 80 % des entreprises françaises « ont ou vont démarrer » un projet de migration de leur informatique « dans les nuages » en 2012. Si l'engouement pour le « cloud computing » a tendance à se confirmer, du moins selon les études, certaines sociétés seraient plus enclines que d'autres à adopter ces nouveaux services. C'est le cas des petites et moyennes entreprises. « Il y a une plus grande réceptivité de la part des PME, comme des entreprises de taille intermédiaire, pour ce type d'offres cette année », confie Laurent Gobbi, associé et responsable de l'activité informatique chez KPMG France. « L'appétence est vraiment perceptible depuis le second semestre », ajoute Alex Rigaldo, responsable des offres cloud computing chez Orange Business Services (OBS). Les atouts naturels du cloud expliquent cet engouement.
Le concept consiste à jouir d'une puissance informatique à la demande sans avoir à investir lourdement dans des infrastructures et des logiciels, mais en s'acquittant simplement d'un forfait et en acceptant que les données soient gérées par un prestataire extérieur. « C'est tout l'intérêt du cloud pour les petites entreprises : goûter à l'informatique des grandes, mais à moindre coût », résume Hélène Auriol, directrice de la division PME-PMI chez Microsoft France. Et le géant du logiciel en profite. Au début de l'été, il a lancé Office 365, son offre de logiciels de bureautique et de collaboration dans le cloud destinée aux petites entreprises. Cinq mois plus tard, « Office 365 est en passe de devenir le service qui s'est vendu le plus rapidement en France pour Microsoft, confie Ariane Gorin, responsable de la division Office en France. Les services en mode cloud permettent aux PME de rattraper leur retard technologique, sans mobiliser toute leur trésorerie ». Le groupe américain estime que les économies générées peuvent atteindre jusqu'à 50 % du budget informatique.
Autre atout du cloud : il permet de se développer plus facilement à l'étranger. « Il n'est plus nécessaire de déployer une infrastructure technologique complète, avec des serveurs et des outils réseau, pour s'implanter sur un nouveau marché. Une connexion Internet peut suffire pour lancer une activité », explique Alex Rigaldo, chez OBS.
L'offensive des opérateurs
Microsoft n'est pas le seul à se positionner sur le créneau prometteur des PME. Les opérateurs télécoms multiplient les offensives commerciales. Fin novembre, SFR Business Team a indiqué qu'il allait démarcher plus activement les PME pour leur vendre des services en mode « cloud ». Dans la foulée, Orange Business Services présentait sa nouvelle offre de « forfait informatique », qui permet de bénéficier via une simple connexion Internet d'un système d'information complet (logiciels, applications, stockage, etc.) géré par l'opérateur. Les opérateurs profitent de la densité de leur maillage géographique et de leur proximité naturelle avec les entreprises, auxquelles ils fournissent déjà des solutions télécoms. Selon le cabinet Pierre Audoin Consultants, OBS serait ainsi le premier fournisseur de services de cloud computing en France.
Le développement de ces services soulève cependant certaines interrogations dans les PME. Celles-ci s'inquiètent notamment de la sécurité des données. « C'est assez paradoxal, remarque pourtant Hélène Auriol, chez Microsoft. Car en migrant dans le cloud, les PME vont bénéficier d'un dispositif de sécurité plus important que ce dont elles disposaient auparavant, avec des technologies mises à jour régulièrement. » Chez Orange, on met l'accent sur la transparence des offres pour tenter de rassurer les entreprises. « Nous pouvons assurer aux clients que leurs données informatiques sont hébergées sur les data centers du groupe, en France », précise Alex Rigaldo.
jeudi 22 décembre 2011
Aider à améliorer Dynamics CRM
Pour ceux qui ont des demandes pour améliorer Dynamics CRM, Microsoft a mis en place une plate-forme d'échange. On peut y voter pour que les demandes d'améliorations intéressantes soient dans la prochaine version du CRM.
https://connect.microsoft.com/dynamicssuggestions
https://connect.microsoft.com/dynamicssuggestions
Création d'un bouton dans un formulaire
Dans cette exemple, nous allons remplacer le champ Salutations du formulaire Contact par un bouton.
Créer une Web Resource nommée new_bouton de type jscript contenant le code suivant.
Dans le formulaire Contact, ajouter l'appel de la fonction ConvertToButton sur le OnLoad avec comme paramètres : 'salutation','ButtonText','100px','FunctionName','Button Label'.
Après publication des modifications, nous obtenons l'écran suivant sur un contact.
Créer une Web Resource nommée new_bouton de type jscript contenant le code suivant.
/* sample */ /* 'salutation','ButtonText','100px','functionName','Button Label' */ function ConvertToButton(fieldname, buttontext, buttonwidth,clickevent, title){ /* check if object exists; else return */ if (document.getElementById(fieldname) == null) { return; } functiontocall=clickevent; crmForm.all[fieldname].DataValue = buttontext; crmForm.all[fieldname].readOnly = true; crmForm.all[fieldname].style.borderRight="#3366cc 1px solid"; crmForm.all[fieldname].style.paddingRight="5px"; crmForm.all[fieldname].style.borderTop="#3366cc 1px solid"; crmForm.all[fieldname].style.paddingLeft="5px"; crmForm.all[fieldname].style.fontSize="11px"; crmForm.all[fieldname].style.backgroundImage="url(/_imgs/btn_rest.gif)"; crmForm.all[fieldname].style.borderLeft="#3366cc 1px solid"; crmForm.all[fieldname].style.width=buttonwidth; crmForm.all[fieldname].style.cursor="hand"; crmForm.all[fieldname].style.lineHeight="18px"; crmForm.all[fieldname].style.borderBottom="#3366cc 1px solid"; crmForm.all[fieldname].style.backgroundRepeat="repeat-x"; crmForm.all[fieldname].style.fontFamily="Tahoma"; crmForm.all[fieldname].style.height="20px"; crmForm.all[fieldname].style.backgroundColor="#cee7ff"; crmForm.all[fieldname].style.textAlign="center"; crmForm.all[fieldname].style.overflow="hidden"; crmForm.all[fieldname].attachEvent("onmousedown",push_button); crmForm.all[fieldname].attachEvent("onmouseup",release_button); crmForm.all[fieldname].attachEvent("onclick",functiontocall); crmForm.all[fieldname].style.lineHeight="14px"; crmForm.all[fieldname+'_c'].style.visibility = 'hidden'; crmForm.all[fieldname].title=title; window.focus(); function push_button(){ window.event.srcElement.style.borderWidth="2px"; window.event.srcElement.style.borderStyle="groove ridge ridge groove"; window.event.srcElement.style.borderColor="#3366cc #4080f0 #4080f0 #3366cc"; } function release_button(){ window.event.srcElement.style.border="1px solid #3366cc"; } } /* now the definition of the function to call on button click */ function FunctionName(){ alert("coucou"); }
Dans le formulaire Contact, ajouter l'appel de la fonction ConvertToButton sur le OnLoad avec comme paramètres : 'salutation','ButtonText','100px','FunctionName','Button Label'.
Après publication des modifications, nous obtenons l'écran suivant sur un contact.
Dassault Systèmes se retire du projet de cloud computing français
Le Monde du 22/12/2011
Le concepteur français de logiciels Dassault Systèmes a décidé de se retirer du projet de services de stockage informatique dématérialisé Andromède. Ce grand projet de cloud computing à la française est porté par un consortium mis en place le 1er août qui se compose de l'Etat, Orange, Thales et Dassault Systèmes. Ce dernier se retire du projet suite à des tensions avec Orange, selon La Tribune.
Les ex-partenaires se disputaient notamment à propos de la durée d'une clause de non-concurrence entre Andromède et ses promoteurs. Dassault Systèmes la souhaitait la plus longue possible. Autres pierres d'achoppement : l'identité du futur dirigeant et les tarifs appliqués par Orange dans le cadre du consortium, selon le journal.
A LA RECHERCHE DE NOUVEAUX PARTENAIRES
Contactée par l'AFP, la direction de Dassault Systèmes s'est refusée à confirmer ou à commenter l'information dévoilée jeudi matin par La Tribune. Mais les groupes Orange et Thales ont confirmé le retrait du concepteur de logiciels du consortium.
"Nous regrettons la décision de Dassault Systèmes, mais nous réaffirmons notre volonté de poursuivre le projet et nous cherchons un ou plusieurs nouveaux partenaires", a-t-on indiqué à la direction d'Orange.
Thales a pour sa part dit "regretter la décision de Dassault Systèmes de se retirer du projet Andromède à quelques semaines de son démarrage opérationnel".
LA FRANCE À LA CONQUÊTE DU MARCHÉ DU CLOUD COMPUTING
"Nous avons toujours la volonté de créer un grand acteur français et européen de l'infrastructure du cloud computing et nous étudions avec nos partenaires la possibilité de compléter le tour de table et poursuivons notre stratégie de conquête du marché du cloud computing", a ajouté Thales.
Initié en 2009 dans le cadre du Grand emprunt, ce projet de partenariat public-privé doit fournir des systèmes sécurisés pour l'hébergement des données numériques, via la création notamment de grands "data centers", ces hébergeurs de données dématérialisées.
Selon un document confidentiel dont l'AFP avait obtenu copie, l'Etat devait injecter 135 millions d'euros dans ce projet via la Caisse des dépôts, tandis qu'Orange et Dassault Systèmes devaient mettre chacun 60 millions d'euros et Thales 30 millions.
L'objectif était de créer "de grandes centrales numériques européennes" pour y stocker les données stratégiques des PME, grands groupes et administrations, et donc de "garantir que les données allaient rester sur le territoire français".
Le concepteur français de logiciels Dassault Systèmes a décidé de se retirer du projet de services de stockage informatique dématérialisé Andromède. Ce grand projet de cloud computing à la française est porté par un consortium mis en place le 1er août qui se compose de l'Etat, Orange, Thales et Dassault Systèmes. Ce dernier se retire du projet suite à des tensions avec Orange, selon La Tribune.
Les ex-partenaires se disputaient notamment à propos de la durée d'une clause de non-concurrence entre Andromède et ses promoteurs. Dassault Systèmes la souhaitait la plus longue possible. Autres pierres d'achoppement : l'identité du futur dirigeant et les tarifs appliqués par Orange dans le cadre du consortium, selon le journal.
A LA RECHERCHE DE NOUVEAUX PARTENAIRES
Contactée par l'AFP, la direction de Dassault Systèmes s'est refusée à confirmer ou à commenter l'information dévoilée jeudi matin par La Tribune. Mais les groupes Orange et Thales ont confirmé le retrait du concepteur de logiciels du consortium.
"Nous regrettons la décision de Dassault Systèmes, mais nous réaffirmons notre volonté de poursuivre le projet et nous cherchons un ou plusieurs nouveaux partenaires", a-t-on indiqué à la direction d'Orange.
Thales a pour sa part dit "regretter la décision de Dassault Systèmes de se retirer du projet Andromède à quelques semaines de son démarrage opérationnel".
LA FRANCE À LA CONQUÊTE DU MARCHÉ DU CLOUD COMPUTING
"Nous avons toujours la volonté de créer un grand acteur français et européen de l'infrastructure du cloud computing et nous étudions avec nos partenaires la possibilité de compléter le tour de table et poursuivons notre stratégie de conquête du marché du cloud computing", a ajouté Thales.
Initié en 2009 dans le cadre du Grand emprunt, ce projet de partenariat public-privé doit fournir des systèmes sécurisés pour l'hébergement des données numériques, via la création notamment de grands "data centers", ces hébergeurs de données dématérialisées.
Selon un document confidentiel dont l'AFP avait obtenu copie, l'Etat devait injecter 135 millions d'euros dans ce projet via la Caisse des dépôts, tandis qu'Orange et Dassault Systèmes devaient mettre chacun 60 millions d'euros et Thales 30 millions.
L'objectif était de créer "de grandes centrales numériques européennes" pour y stocker les données stratégiques des PME, grands groupes et administrations, et donc de "garantir que les données allaient rester sur le territoire français".
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