Version: 5.0.6
Mise à jour d'articles :
- Utilisation de Windows Azure AppFabric Access Control Services.
- Maintenir une solution managée.
- Recommendation d'utilisation des web ressource PNG comme icônes.
- Supporte l'utilisation de jQuery.
- Utilisation de la méthode setVisible.
Mise à jour des outils :
- PluginRegistration : ajout le support pour Windows Azure AppFabric Access Control Services.
- Fichier Helper Microsoft Visual Basic .NET : utilisation des énumérations pour les listes, statut et raison du statut.
- Plug-in Profiler Tool : Ajoute une documentation.
Mise à jour des exemples de code :
- Suppression de la référence SolutionComponentType.
- Association de rôle.
- Utilisation du PostWorkflowEvent dans les messages PropagateByExpressionRequest et CreateActivitiesListRequest.
- Fonction getODataUTCDateFilter.
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mardi 30 août 2011
vendredi 26 août 2011
Les Européens doivent faire cause commune dans le cloud computing
Les Echos du 26/08/2011
Joseph Reger est directeur technique de Fujitsu Technology Solutions
Ces dernières années, le cloud computing a été au cœur de nombreuses discussions, notamment au sein de l'Europe. Aujourd'hui, le nombre de mises en application concrètes par des utilisateurs s'accroît considérablement. Aussi, petit à petit, l'industrie montre que cette technologie est prête à se développer dans de nombreux contextes ainsi que dans différents secteurs d'activité. Cependant, une chose est claire : sans les actions concertées des fabricants et sans des conditions de base régulées de manière unifiée partout en Europe, le marché de ce côté de l'Atlantique risque de rester à la traîne derrière le marché américain. Si nous n'unissons pas nos forces, le cloud européen ne sera jamais une réalité concrète.
Heureusement, les dirigeants politiques européens semblent avoir compris qu'il est important d'agir rapidement. Dans le discours qu'elle a tenu à l'occasion du Forum économique mondial à Davos en début d'année, la commissaire européenne Neelie Kroes a insisté sur la nécessité, dans le contexte de l'agenda numérique pour l'Europe, de mettre en place une stratégie de cloud computing à l'échelle européenne. Il s'agit maintenant de savoir quand nous serons en mesure de mettre en pratique ces bonnes intentions. L'espace économique européen est un système complexe, qui comprend un grand nombre de pays et donc tout autant de parties prenantes. Construire une infrastructure unifiée et stable : tel est donc le grand défi qui nous attend. Et, pour ce faire, un certain nombre de conditions doivent être remplies.
Notons, avant tout, la nécessité d'une législation unifiée concernant la gestion des données dans le cloud. La législation locale est aujourd'hui diamétralement opposée à l'idée de clouds transnationaux, que ce soit au niveau européen ou mondial. Au niveau européen, la tendance à la fragmentation devient un inconvénient majeur, au regard de la concurrence et de la situation géographique. Une législation moderne à l'échelle européenne est donc indispensable, par exemple en termes de conformité et de sécurité. Doit-on vraiment empêcher toutes les données brutes de quitter le pays, ou doit-on plutôt veiller à conserver les informations vraiment stratégiques à l'intérieur de nos frontières ? Dans le cas de données cryptées, par exemple, les informations sont inutiles sans la clef permettant de les déverrouiller ; par conséquent, quelle importance peut bien avoir l'emplacement physique dans lequel ces données sont stockées ?
Dans le même temps, les fabricants doivent également établir des normes communes, en collaboration avec les gouvernements et les autorités de régulation. En effet, l'absence de normes complique la tâche des utilisateurs précoces du cloud car ces derniers font face à des besoins d'intégration accrus et à des coûts imprévisibles. Cette situation risquerait de les décourager dans leur volonté d'utiliser les services du cloud. De telles normes renforceraient aussi la fiabilité et l'acceptation du cloud sur le marché, renforçant donc ainsi le marché lui-même.
Parallèlement, nous devons trouver une solution à un autre problème : à quoi bon créer des normes si personne ne veille à ce qu'elles soient respectées ? Cet aspect est en effet également capital pour la mise en place d'un « cloud » européen. Et c'est pour cette raison que nous avons besoin d'autorités de certification indépendantes. Les autorités de certification offrent les moyens et les compétences nécessaires pour faire respecter ces normes, et doivent être reconnues et acceptées par un public aussi large que possible. Elles doivent être réputées, et peuvent même nécessiter l'approbation d'une autorité gouvernementale.
Nous sommes donc face à un paradoxe. D'un côté, le monde a peur de Big Brother et, de l'autre, une grande partie de la population a cette croyance inébranlable que les autorités gouvernementales prendront les bonnes mesures. Dans ce débat, les autorités, les institutions et les gouvernements doivent donner l'exemple à l'économie ; quant aux entreprises, elles doivent déployer elles-mêmes leurs services cloud et trouver le moyen de les intégrer à leur parc informatique. Lorsque quelque chose ne fonctionne pas, les entreprises doivent cesser de demander pourquoi aux autorités et découvrir par elles-mêmes une solution au problème. Dans cinq ans, de nombreuses entreprises ne se demanderont plus quels services peuvent être utilisés depuis le cloud , mais quels services ne peuvent pas l'être. Bien évidemment, des arguments économiques concrets sont également en faveur de ce modèle. Si nous réussissons à créer ces conditions, le cloud européen présentera un réel avantage compétitif : il offrira la fiabilité et la sécurité, qui constituent les deux critères principaux pour l'utilisateur.
Joseph Reger est directeur technique de Fujitsu Technology Solutions
Ces dernières années, le cloud computing a été au cœur de nombreuses discussions, notamment au sein de l'Europe. Aujourd'hui, le nombre de mises en application concrètes par des utilisateurs s'accroît considérablement. Aussi, petit à petit, l'industrie montre que cette technologie est prête à se développer dans de nombreux contextes ainsi que dans différents secteurs d'activité. Cependant, une chose est claire : sans les actions concertées des fabricants et sans des conditions de base régulées de manière unifiée partout en Europe, le marché de ce côté de l'Atlantique risque de rester à la traîne derrière le marché américain. Si nous n'unissons pas nos forces, le cloud européen ne sera jamais une réalité concrète.
Heureusement, les dirigeants politiques européens semblent avoir compris qu'il est important d'agir rapidement. Dans le discours qu'elle a tenu à l'occasion du Forum économique mondial à Davos en début d'année, la commissaire européenne Neelie Kroes a insisté sur la nécessité, dans le contexte de l'agenda numérique pour l'Europe, de mettre en place une stratégie de cloud computing à l'échelle européenne. Il s'agit maintenant de savoir quand nous serons en mesure de mettre en pratique ces bonnes intentions. L'espace économique européen est un système complexe, qui comprend un grand nombre de pays et donc tout autant de parties prenantes. Construire une infrastructure unifiée et stable : tel est donc le grand défi qui nous attend. Et, pour ce faire, un certain nombre de conditions doivent être remplies.
Notons, avant tout, la nécessité d'une législation unifiée concernant la gestion des données dans le cloud. La législation locale est aujourd'hui diamétralement opposée à l'idée de clouds transnationaux, que ce soit au niveau européen ou mondial. Au niveau européen, la tendance à la fragmentation devient un inconvénient majeur, au regard de la concurrence et de la situation géographique. Une législation moderne à l'échelle européenne est donc indispensable, par exemple en termes de conformité et de sécurité. Doit-on vraiment empêcher toutes les données brutes de quitter le pays, ou doit-on plutôt veiller à conserver les informations vraiment stratégiques à l'intérieur de nos frontières ? Dans le cas de données cryptées, par exemple, les informations sont inutiles sans la clef permettant de les déverrouiller ; par conséquent, quelle importance peut bien avoir l'emplacement physique dans lequel ces données sont stockées ?
Dans le même temps, les fabricants doivent également établir des normes communes, en collaboration avec les gouvernements et les autorités de régulation. En effet, l'absence de normes complique la tâche des utilisateurs précoces du cloud car ces derniers font face à des besoins d'intégration accrus et à des coûts imprévisibles. Cette situation risquerait de les décourager dans leur volonté d'utiliser les services du cloud. De telles normes renforceraient aussi la fiabilité et l'acceptation du cloud sur le marché, renforçant donc ainsi le marché lui-même.
Parallèlement, nous devons trouver une solution à un autre problème : à quoi bon créer des normes si personne ne veille à ce qu'elles soient respectées ? Cet aspect est en effet également capital pour la mise en place d'un « cloud » européen. Et c'est pour cette raison que nous avons besoin d'autorités de certification indépendantes. Les autorités de certification offrent les moyens et les compétences nécessaires pour faire respecter ces normes, et doivent être reconnues et acceptées par un public aussi large que possible. Elles doivent être réputées, et peuvent même nécessiter l'approbation d'une autorité gouvernementale.
Nous sommes donc face à un paradoxe. D'un côté, le monde a peur de Big Brother et, de l'autre, une grande partie de la population a cette croyance inébranlable que les autorités gouvernementales prendront les bonnes mesures. Dans ce débat, les autorités, les institutions et les gouvernements doivent donner l'exemple à l'économie ; quant aux entreprises, elles doivent déployer elles-mêmes leurs services cloud et trouver le moyen de les intégrer à leur parc informatique. Lorsque quelque chose ne fonctionne pas, les entreprises doivent cesser de demander pourquoi aux autorités et découvrir par elles-mêmes une solution au problème. Dans cinq ans, de nombreuses entreprises ne se demanderont plus quels services peuvent être utilisés depuis le cloud , mais quels services ne peuvent pas l'être. Bien évidemment, des arguments économiques concrets sont également en faveur de ce modèle. Si nous réussissons à créer ces conditions, le cloud européen présentera un réel avantage compétitif : il offrira la fiabilité et la sécurité, qui constituent les deux critères principaux pour l'utilisateur.
Correctif cumulatif 19 pour Microsoft Dynamics CRM 4.0
Version: 04.00.7333.3628
- Fonctionnement du champ de contrôle de date avec IE 9.
- Compression entre le client CRM pour Outlook et les services Web CRM.
- Suivi des messages électroniques créés par les logiciels RightFax.
- Blocage d'IE lors du clique Fusion et publipostage dans une liste marketing.
- Utilisation de la méthode openObj() pour ouvrir un formulaire CRM dans une page personnalisée.
- Enregistrement ou mise à jour d'un rendez-vous dans CRM.
- Affichage des contrats actifs dans le concepteur de workflow.
- Détection des doublons sur les contacts et les comptes.
- Définition du concernant dans le client Outlook.
- Mise à niveau du client Outlook CRM 4.0 vers le client Outlook CRM 2011.
lundi 15 août 2011
Changer la couleur et la police du texte de l'intitulé d'un attribut
Comme exemple, nous allons changer la couleur et la police de l'intitulé du champ Téléphone principal de l'entité Compte.
document.all.telephone1_c.style.color = 'red'; document.all.telephone1_c.style.fontWeight = 'bold';
Nous obtenons le formulaire pour l'entité Compte.
samedi 6 août 2011
Erreur : le service de suppression n'a pas pu nettoyer les tables Asyncoperation
Lorsque vous exécutez Microsoft Dynamics CRM 4.0, la table AsyncOperationBase s'agrandit pour être très volumineux. Lorsque la table contient des millions d'enregistrements, les performances sont lentes.
De plus, des erreurs sont enregistrées sur le serveur Microsoft Dynamics CRM dans le journal des événements applications.
Nettoyage manuel des tables Asyncoperation.
http://support.microsoft.com/kb/968520/fr
Activation du service de suppression des tables Asyncoperation.
http://support.microsoft.com/kb/974896/fr
De plus, des erreurs sont enregistrées sur le serveur Microsoft Dynamics CRM dans le journal des événements applications.
Nettoyage manuel des tables Asyncoperation.
http://support.microsoft.com/kb/968520/fr
Activation du service de suppression des tables Asyncoperation.
http://support.microsoft.com/kb/974896/fr
Développer avec le Framework xRM : conseils, astuces et bonnes pratiques
http://www.xrmvirtual.com/events/tips_and_tricks_CRM2011
Se former sur Dynamics CRM
- Planification
- Files d'attente
- Listes marketing
- Réorientation des entités
- Gestion de la sécurité
- Les utilisateurs peuvent avoir des fonctionnalités complétement différentes
- Gestion des doublons
Les projets ne sont pas tous xRM.
Penser xRM
-Déterminer le x dans ton xRM.
-Le x est normalement le nœud central de ton application
Bonnes pratiques
- Éviter d'utiliser du JavaScript qui appelle le serveur.
- Utiliser les Plug-ins PreCreate et PreUpdate.
- Modifier une entité sur le déclenchement de Plug-ins.
- Renseigner ou valider les champs à travers des Plug-ins.
- Établir des projets standards.
- Inclure des commentaires dans le code des Plug-ins.
- Ne pas sur dimensionner.
- Utiliser des messages d'exception personnalisés pour la validation.
- Utiliser des Plug-ins Asynchrones pour lancer des longs traitements.
- Enregistrer les résultats du Plug-in dans une entité.
- Générer les classes des entités avec CRMSVCUtil.
- Étendre les classes des entités pour un code réutilisable.
- Faire une bonne gestion du cache des Plug-ins.
Nettoyer le cache
- Créer des relations par ID non par objet
A la place de Account.PrimaryContact=ContactEntity utiliser Account.PrimaryContactId=Contactentity.ContactID
- Suivre les changements de personnalisation
- Planifier à l'avance
- Créer des checklists du déploiement
- Utiliser une seule organisation de développement pour le déploiement
- Enregistrer les Plug-ins dans la base de données.
- Enregistrer les Dlls dans le GAC.
- Placer tous les points de terminaisons et les fichiers de configuration Async.
Non supporté
- Documenter les modifications non supportées
- Les niveaux : Modification d'interface, changement de code
- Important pour les mises à jour
Débogage du CRM
- Visual Studio Remote Debugger
- Activer les fichiers de trace avec CRMDiagTool
Se former sur Dynamics CRM
- Planification
- Files d'attente
- Listes marketing
- Réorientation des entités
- Gestion de la sécurité
- Les utilisateurs peuvent avoir des fonctionnalités complétement différentes
- Gestion des doublons
Les projets ne sont pas tous xRM.
Penser xRM
-Déterminer le x dans ton xRM.
-Le x est normalement le nœud central de ton application
Bonnes pratiques
- Éviter d'utiliser du JavaScript qui appelle le serveur.
- Utiliser les Plug-ins PreCreate et PreUpdate.
- Modifier une entité sur le déclenchement de Plug-ins.
- Renseigner ou valider les champs à travers des Plug-ins.
- Établir des projets standards.
- Inclure des commentaires dans le code des Plug-ins.
- Ne pas sur dimensionner.
- Utiliser des messages d'exception personnalisés pour la validation.
- Utiliser des Plug-ins Asynchrones pour lancer des longs traitements.
- Enregistrer les résultats du Plug-in dans une entité.
- Générer les classes des entités avec CRMSVCUtil.
- Étendre les classes des entités pour un code réutilisable.
- Faire une bonne gestion du cache des Plug-ins.
Nettoyer le cache
public static void ClearCache(string entityName) { const string format ="adxdependency:crm:entity:{0}"; var dependency = string.Format(format,entityName).ToLower(); var cache = Microsoft.Xrm.Client;Caching.CacheManager.GetBaseCache(); cache.Remove(dependency); }
- Créer des relations par ID non par objet
A la place de Account.PrimaryContact=ContactEntity utiliser Account.PrimaryContactId=Contactentity.ContactID
- Suivre les changements de personnalisation
- Planifier à l'avance
- Créer des checklists du déploiement
- Utiliser une seule organisation de développement pour le déploiement
- Enregistrer les Plug-ins dans la base de données.
- Enregistrer les Dlls dans le GAC.
- Placer tous les points de terminaisons et les fichiers de configuration Async.
Non supporté
- Documenter les modifications non supportées
- Les niveaux : Modification d'interface, changement de code
- Important pour les mises à jour
Débogage du CRM
- Visual Studio Remote Debugger
- Activer les fichiers de trace avec CRMDiagTool
vendredi 5 août 2011
Vidéos sur CRM 2011 Online
L'équipe Microsoft Dynamics CRM Online a créé et maintient le site www.democrmonline.com
Il contient des vidéos pour aider à utiliser et à administrer CRM 2011.
Il contient des vidéos pour aider à utiliser et à administrer CRM 2011.
lundi 1 août 2011
Mise à jour du SDK pour CRM 2011: 5.0.5
Version: 5.0.5
Mise à jour\Ajout des assemblies:
- Compatibilité Rollup 3
Mise à jour\Ajout d'articles:
- Seul le format de mise à jour de l'import de données est XML Spreadsheet 2003.
- Information sur le Developer Toolkit.
- Information sur les paramètres AsyncSelectMaxItems ajoutés par le Rollup 3.
- Ruban : Certaines valeurs de l'attribut DisplayMode cause une erreur.
- Ruban : Explication des rôles d'activation et désactivation des composants de ruban appliqués sur les pages personnalisées.
- Classe Entity.
- Liste des prérequis pour le programme de démarrage rapide.
- Guide pour deployer des plug-ins.
- SiteMap : change l'attribut CheckExtensionProperty pour indiquer un usage interne.
- Démonstration d'utilisation avec les application Silverlight.
- Indique que la collection Xrm.Page.ui.formSelector.items est vide quand un seul formulaire est disponible.
Mise à jour\Ajout d'outils:
- PluginProfiler.exe.
- Prise en charge du profiler dans Plu-in Registration Tool.
Mise à jour\Ajout d'exemples:
- Exemples pour Microsoft Visual Basic .NET.
- Utilisation de DeleteAuditRequest.
- Utilisation de RetrieveAuditPartitionListRequest.
- Utilisation de RetrieveRecordChangeHistoryRequest.
- Utilisation de RetrieveOrganizationRequest.
- Utilisation de RetrieveOrganizationsRequest.
- Association et désassociation en utilisant REST Endpoint.
- Distribution des activités de campagne avec une liste dynamique et statique.
- Inclure des informations complémentaires en utilisant la propriété QueueItemProperties.
- Exemple de fichier généré par CrmSvcUtil.exe contenant les listes de valeur, statut et raison de statut.
- Utilisation des activités.
Mise à jour\Ajout des assemblies:
- Compatibilité Rollup 3
Mise à jour\Ajout d'articles:
- Seul le format de mise à jour de l'import de données est XML Spreadsheet 2003.
- Information sur le Developer Toolkit.
- Information sur les paramètres AsyncSelectMaxItems ajoutés par le Rollup 3.
- Ruban : Certaines valeurs de l'attribut DisplayMode cause une erreur.
- Ruban : Explication des rôles d'activation et désactivation des composants de ruban appliqués sur les pages personnalisées.
- Classe Entity.
- Liste des prérequis pour le programme de démarrage rapide.
- Guide pour deployer des plug-ins.
- SiteMap : change l'attribut CheckExtensionProperty pour indiquer un usage interne.
- Démonstration d'utilisation avec les application Silverlight.
- Indique que la collection Xrm.Page.ui.formSelector.items est vide quand un seul formulaire est disponible.
Mise à jour\Ajout d'outils:
- PluginProfiler.exe.
- Prise en charge du profiler dans Plu-in Registration Tool.
Mise à jour\Ajout d'exemples:
- Exemples pour Microsoft Visual Basic .NET.
- Utilisation de DeleteAuditRequest.
- Utilisation de RetrieveAuditPartitionListRequest.
- Utilisation de RetrieveRecordChangeHistoryRequest.
- Utilisation de RetrieveOrganizationRequest.
- Utilisation de RetrieveOrganizationsRequest.
- Association et désassociation en utilisant REST Endpoint.
- Distribution des activités de campagne avec une liste dynamique et statique.
- Inclure des informations complémentaires en utilisant la propriété QueueItemProperties.
- Exemple de fichier généré par CrmSvcUtil.exe contenant les listes de valeur, statut et raison de statut.
- Utilisation des activités.
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