Venu des États-Unis, le VRM, Vendor Relationship Management, instaure une nouvelle relation entre les consommateurs et les annonceurs ou fournisseurs de prestations.
Importé des États-Unis, le VRM (Vendor Relationship Management) instaure une nouvelle relation entre le consommateur et les entreprises. De quoi s’agit-il ? En se connectant sur une plateforme, le client accède en quelques clics à tous ses documents de gestion (factures, relevés) et ses documents moins structurés (points de fidélité, historiques de contrats). Cet outil lui permet de reprendre la main sur ses relations administratives et commerciales avec ses fournisseurs (EDF, opérateur téléphonique, CPAM etc.). Cette sorte de CRM pour le client lui-même lui permet de mieux connaître les annonceurs et fournisseurs avec lesquels il est en relation (ou souhaite le faire) dans un objectif de “mieux consommer”.
Le VRM a été imaginé en 2006 par des chercheurs de l’université d’Harvard qui ont constaté les limites du CRM et le mauvais ciblage de certaines campagnes marketing.
La formule est aussi susceptible d’intéresser les entreprises. Celles-ci peuvent en effet utiliser les données fournies par les internautes et organiser des campagnes de marketing ciblées en fonction de leur besoin. Bien entendu, les destinataires donnent préalablement leur accord pour chaque opération. Une entreprise peut, par exemple, sélectionner une partie des contacts dont elle n’avait pas connaissance pour mener une opération ou pour mieux cibler une campagne. Une façon d’augmenter le taux de retour des opérations de marketing.
Cet outil fournit non seulement plus d’indépendance au consommateur dans ses relations commerciales, mais engagent aussi les annonceurs dans cette démarche de communication.
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