http://www.devextras.com/decompiler/
Lien pour le télécharger : http://www.devextras.com/printscreen/DevExtras.PrintScreen.msi
Outil permettant de décompiler des Assembly .NET, supporte la version du Framework .NET de 1.0 à 4.0.
C'est une alternative gratuite du .NET Reflector.
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vendredi 28 octobre 2011
Outil collaboratif : Dropbox
http://www.dropbox.com/
Dropbox permet de mettre en sécurité et de partager des fichiers.
Le compte gratuit offre un espace de 2 Go.
mercredi 26 octobre 2011
Microsoft s'aligne sur Salesforce.com pour son CRM
LMI (Le Monde Informatique) du 26/10/2011
http://www.lemondeducloud.fr/lire-microsoft-s-aligne-sur-salesforcecom-pour-son-crm-42401.htmlMicrosoft a dévoilé hier la dernière version de son logiciel de gestion de la relation client Dynamics CRM (Customer Relationship Management). Celle-ci s'enrichit de certaines fonctionnalités ouvrant sur les réseaux sociaux et permet des liens plus étroits avec la suite de productivité en ligne Office 365.
Microsoft s'inspire en cela de Salesforce.com. Les deux versions en ligne et sur site du logiciel Dynamics CRM sont dotées des mêmes outils de micro-blogging et affichent toutes deux les flux d'activité de manière à voir les messages envoyés par les utilisateurs, de suivre les comptes des collègues, plus les opportunités et d'autres informations envoyées par le système CRM. « Ces fonctions sont accessibles depuis le client Outlook, dans l'interface du navigateur et sous Windows Phone 7, » a déclaré le DG du département Dynamics CRM. « Nous avons fait en sorte de traiter l'aspect social comme un outil de productivité et pas uniquement comme une nouvelle technologie sympathique à utiliser, » a-t-il ajouté. « Nous ne sommes pas les premiers à le faire. Mais nous nous sommes fiés à l'expérience que d'autres ont acquis dans le domaine de la productivité. »
Etendre les capacités de l'outil CRM
Microsoft prévoit d'élargir les capacités sociales de son CRM. On ne sait pas très bien encore si l'éditeur va finir par créer son propre modèle de « gestion de l'expérience client», un concept émergent, dont l'objectif est d'améliorer le support client et le service à la clientèle en utilisant plusieurs canaux, depuis les centres d'appels, les sites de médias sociaux, les sites web de l'entreprise, et jusqu'aux portails dédiés. Cette semaine, Oracle a fait une entrée remarquée dans ce marché, en faisant part de son intention de racheter RightNow Technologies pour 1,5 milliard de dollars. Adobe et IBM ont également fait des achats importants pour soutenir leurs propres stratégies dans ce secteur.
En attendant, cette version de Dynamics CRM offre également des fonctionnalités susceptibles d'être appréciées dans l'entreprise, comme le partage du système Active Directory sur site d'un client avec CRM Online, ou encore la mise en place de datascenters redondants dans différentes régions du monde. De sorte que, si le système tombe en panne dans une certaine région, il peut être remis en route depuis une autre zone située à proximité. « Cela devrait aider les entreprises à rester en conformité avec les réglementations gouvernementales, » a estimé Brad Wilson qui a précisé par ailleurs que « Dynamics CRM comptait aujourd'hui 30 000 clients environ et 2 millions d'utilisateurs. » Comparativement, en juillet 2010, Microsoft faisait état de 23 000 clients et 1,4 million d'utilisateurs pour son service.
30 000 clients dans le monde avec 2 millions d'utilisateurs
Selon le directeur général de l'activité Dynamics CRM, « le plus grand déploiement unique sur site comporte 70 000 postes. » Et que les déploiements de CRM Online comportent désormais « plusieurs milliers de postes, » a-t-il indiqué. Le lancement mondial de CRM Online l'an dernier a grandement contribué aux ventes, en fournissant à Microsoft un moyen facile de livrer des versions d'essai de son logiciel à travers le monde. Auparavant, dans les régions non couvertes par CRM Online, le logiciel devait être configuré et mis en place sur site. « Cela nous a permis de faire grandement évoluer notre modèle d'engagement à la clientèle (Consumer Engagement Model - CEM). »
Correctif cumulatif 5 pour Microsoft Dynamics CRM 2011
Version : 05.00.9688.1533
- E-mail Router
- Client MS CRM pour Outlook
- Création de doublon par la touche F5
- Affichage d'option personnalisée de type chaîne dans un workflow Dialog
- Migration des workflows de MS CRM 4 vers MS CRM 2011
- Fonctionnement avec Internet Explorer 9
- Modification des options personnelles ou les paramètres du système
- Activation de langue supplémentaire
- Rapports
- Import des messages électroniques
- Fuseau horaire de plusieurs pays
- Installation des Extensions de rapports SRS
- L'option DoNotIgnoreInternetEmailToQueues est déplacée vers les paramètres de l'organisation
- L'option EnableRetrieveMultipleOptimization est déplacée vers les paramètres de l'organisation
mardi 11 octobre 2011
Guides pour les utilisateurs CRM 2011
Microsoft Dynamics CRM 2011 Quick Start Guide for Business Users
http://www.microsoft.com/download/en/details.aspx?id=27574
Microsoft Dynamics CRM 2011 for Outlook Quick Start Guide
http://www.microsoft.com/download/en/details.aspx?id=27575
http://www.microsoft.com/download/en/details.aspx?id=27574
Microsoft Dynamics CRM 2011 for Outlook Quick Start Guide
http://www.microsoft.com/download/en/details.aspx?id=27575
lundi 10 octobre 2011
jeudi 22 septembre 2011
Correctif cumulatif 4 pour Microsoft Dynamics CRM2011
Version : 05.00.9688.1450
Installation
Installation
- Compatibilité avec Microsoft .NET Framework 4.5.
- Installation des extensions de rapports SRS.
- Restauration de base de données.
- Masquer dans le ruban le groupe Incure sur un rendez-vous et un appel téléphonique.
- Import de solution.
- Modification d'un champ de recherche d'une entité contenant de nombreuses relations.
- Mise à jour de workflows.
- Execution d'un plug-in sur l'entité incident.
- Rapport.
- Compte de messagerie POP3.
- Utilisation de l'outil CrmSvcUtil.exe dans un environnement IFD.
- Ajout de rôle de sécurité dans une solution.
- Ajout d'un champ de date à un formulaire d'email.
- Suppression en bloc.
- Suppression et mise à jour de solution gérée.
- Utilisation de la fonction FetchXML.
- Blocage du service asynchrone.
- Fonction setStateDynamicEntityRequest.
- Ajout d'un URL vers une zone de SiteMap.
- Workflows dans les solutions gérées.
- Migration de Workflows de Microsoft Dynamics CRM 4.0 vers Microsoft Dynamics CRM 2011.
- Vue Historique d'audit.
- Affichage des contacts dans l'historique d'audit.
- Ajout d'utilisateur de domaine de site multiple.
- Affectation de comptes.
- Connecteur Microsoft Dynamics CRM pour Microsoft Dynamics GP.
- Conversion d'une activité en opportunité.
- Suppression d'une activité.
- Planification d'une activité de service.
- Création de rendez-vous en double dans le calendrier de service.
- Execution de code Javascript dans une zone de texte URL.
- Conversion d'un prospect en opportunité lors de la détection de doublons.
- Fermeture en gagné d'une opportunité.
- Rôle de sécurité.
- La vue "Comptes : aucune commande dans les 6 derniers mois"
- Fusion de compte en doublons.
- Fonction fusion et publipostage.
- Export d'un rapport sous Excel.
- Affichage de format numérique et monétaire.
- Taux de change dans un formulaire.
- Longueur maximale d'une URL.
- Mode hors connexion.
- Synchronisation.
- Mode hors connexion suite au correctif cumulatif 3.
- Icônes incorrectes.
- Exécution d'une campagne rapide.
- Ajout d'un email à une entité personnalisée.
- Fonction de Fusion et publipostage comportant une pièce jointe.
- Création d'un email.
- Ajout d'un paramètre _hc pour masqué les rubans.
- Clé de registre EnableRetrieveMultipleOptimization pour afficher la liste des rapports.
mercredi 21 septembre 2011
Pour simplifier son CRM, RTL TV passe à Salesforce.com
Le monde du Cloud - Edition du 20/09/2011
Pourquoi passer à un CRM en mode SaaS, alors que des outils de ce type ont déjà été développés pour son entreprise ? C'est une des questions que nous avons posé à Eric Ten Hooper, directeur informatique de RTL TV.
Directeur informatique de la chaine RTL TV aux Pays-Bas, Eric Ten Hoopen était confronté à la sous-utilisation des outils de CRM par les cadres commerciaux et la direction des programmes. « L'interfaçage et la synchronisation avec Outlook étaient par exemple difficiles. Il y a deux ans, j'ai décidé qu'il fallait changer tout cela, car cela ne fonctionnait pas. » Le responsable des systèmes d'information de la chaine a donc pris son bâton de pèlerin pour rencontrer les principaux éditeurs du marché. « Microsoft est venu nous montrer Dynamics CRM. Nous n'avons pas considéré les solutions d'Oracle, car cela ne correspondait pas à notre infrastructure. Et nous somme allés voir Salesforce.com, car le cloud nous semblait une voie intéressante et c'est un bon outil CRM pour les utilisateurs. Nous avons regardé la technologie et le cloud était une bonne chose. Enfin le budget du projet était maitrisé ».
Selon Eric Ten Hoopen, Salesforce se distingue par sa grande souplesse. « Il était possible d'adapter l'outil à nos usages. Nous avons donc créé des objets correspond spécialement à notre projet, ce qui aurait été beaucoup plus difficile avec Dynamics CRM ». Parmi les besoins spécifiques à RTL TV, citons la gestion de la relation client, la vente de spots publicitaires et de bannières Internet, les placements de produits et le suivi des événements. »
Une centaine d'utilisateurs concernés
Ce projet concerne une centaine d'utilisateurs et pas seulement les forces commerciales. Il était important que les services puissent communiquer entre eux notamment les commerciaux et les responsables produits. « On peut dire qu'il s'agit d'une sorte de système de gestion de la connaissance pour notre entreprise ».
La mise en place de cet outil CRM a nécessité un an avec un partenaire, notamment pour la personnalisation des champs et la programmation des objets. « Lors de la création d'un projet d'émission TV, on a besoin de savoir s'il y a de réelles opportunités commerciales. Les services financiers avaient besoin de ces rapports» . Après de nombreuses discussions avec les différentes équipes concernées par le projet, un cahier des charges a été établi pour préciser ce que devrait apporter l'application CRM. « Une fois la solution mise en place, les utilisateurs se sont aperçus qu'ils avaient demandé trop de choses. La seconde étape a donc consisté à rationaliser l'outil. » Le budget d'intégration (développement et customisation) a été de 200 000 euros environ, mais Eric Ten Hoopen se refuse à communiquer le montant acquitté auprès de SalesForce.com, se retranchant habilement derrière l'habituel secret des négociations.
Le responsable informatique se dit aujourd'hui satisfait de cette solution SaaS. « Même si cela semble plus cher sur 1 ou 2 ans, ce sera moins onéreux à long terme, car avec ce modèle cloud il n'est pas nécessaire de supporter le coût de l'infrastructure. Je ne pense pas que le cloud soit moins cher, mais c'est plus facile et plus fiable. » Interrogé sur le support de SalesForce, le DSI répond que « c'est étrange, mais nous n'avons pas de problèmes. Sur le cloud, votre fournisseur trouve généralement le problème avant vous ».
Certains services restent sur des solutions classiques
Si Eric Ten Hooper s'est laissé tenté par le cloud pour son CRM, il n'en va de même pour certains services comme la facturation qui repose toujours sur une application SAP. « Je ne suis pas encore prêt à prendre Salesforce pour ce type d'activité. » Même prudence du côté des réseaux sociaux, mais pour une autre raison. « Chatter me rappelle GoogleVoice, pourquoi est-ce aussi difficile à utiliser ? C'est un outil qui pourrait être intéressant, mais on reçoit trop d'informations et de flux ».
Pour revenir au CRM, le responsable IT étudie attentivement l'usage de Salesforce sur iPad. « Beaucoup sont emballés par le couplage Salesforce/iPad. Il est vrai qu'il est toujours difficile d'utiliser des outils CRM mais avec une tablette, cela semble plus simple. »
Illustration principale : Eric Ten Hoopen, directeur informatique de la chaine RTL TV
285 millions d'euros pour Andromède, le cloud souverain français
Le monde du Cloud - Edition du 21/09/2011
En partie financé par le grand emprunt, ce cloud souverain a été relancé en aout dernier avec la signature d'un protocole d'accord entre la Caisse des Dépôts, et ses partenaires privés France Telecom/Orange, Thalès et Dassault Systèmes alors que Capgemini a préféré se retirer du projet. La Caisse des Dépôts investira 135 millions d'euros, France Telecom et Thales apporteront 60 millions chacun et Dassault Systèmes 30 millions, rapporte le quotidien Les Échos.
Un cloud souverain pour réduire les coûts des SI de l'Etat ?
Pour réduire les coûts de fonctionnement de ses systèmes d'informations - la principale mission de Jérôme Filippini, le directeur interministériel des systèmes d'information et de communication - l'État est bien obligé de mettre en place les recettes qui fleurissent dans le privé. Mais pour garantir la sécurité et la confidentialité des données, le gouvernement a décidé de confier ces infrastructures stratégiques à 3 groupes bien français. Nulle dimension européenne dans ce projet, alors que la standardisation des infrastructures cloud au niveau continental est le seul moyen de proposer des plates-formes aussi compétitives que celles d'Amazon ou de Microsoft. Si le projet Andromède n'est qu'un nouvel avatar du génie français qui consiste à faire plus cher et moins interopérable, les objectifs de réduction des coûts vont passer à la trappe au profit du discours habituel sur l'excellence française.
Selon Les Échos, « Orange fournira les infrastructures en colocation à Andromède et l'ensemble de la connectivité nécessaire aux clients d'Andromède ». La partie sécurité sera assurée par Thalès, une de ses spécialités. On ne sait pas encore quelle sera la contribution technologique de Dassault Systèmes, pas vraiment un poids lourd du cloud computing. « Ca avance dans le bon sens, mais on ne peut ne rien dire de plus pour l'instant», nous a simplement confié un porte-parole de Dassault Systèmes.
Enfin selon une source syndicale, le projet Andromède concernera tout d'abord « le domaine de l'e-santé, des données personnelles, mais aussi d'accueillir les données de type e-gouvernement ».
En regroupant trois des acteurs de l'industrie numérique en France, le gouvernement entend préserver la sécurité et la confidentialité de ses données avec Andromède, son projet de cloud souverain.
Pour concurrencer les principaux clouds publics d'origine américaine, IBM, HP, Microsoft, Amazon Web Services ou Rackspace et surtout échapper au fameux Patriot Act US, la France aura son cloud public national : un projet baptisé Andromède et lancé en 2009 par François Fillon. Le 18 janvier 2010, le premier ministre déclarait : « Mon souhait est que ce nouveau type d'infrastructure de service fasse l'objet d'un partenariat public-privé grâce aux fonds du programme pour les investissements d'avenir. Il faut absolument que nous soyons capables de développer une alternative française et européenne dans ce domaine, qui connaît un développement exponentiel [...] Force est de constater que les Nord-Américains dominent ce marché, qui constitue pourtant un enjeu absolument majeur pour la compétitivité de nos économies, pour le développement durable et même, j'ose le dire, pour la souveraineté de nos pays ».En partie financé par le grand emprunt, ce cloud souverain a été relancé en aout dernier avec la signature d'un protocole d'accord entre la Caisse des Dépôts, et ses partenaires privés France Telecom/Orange, Thalès et Dassault Systèmes alors que Capgemini a préféré se retirer du projet. La Caisse des Dépôts investira 135 millions d'euros, France Telecom et Thales apporteront 60 millions chacun et Dassault Systèmes 30 millions, rapporte le quotidien Les Échos.
Un cloud souverain pour réduire les coûts des SI de l'Etat ?
Pour réduire les coûts de fonctionnement de ses systèmes d'informations - la principale mission de Jérôme Filippini, le directeur interministériel des systèmes d'information et de communication - l'État est bien obligé de mettre en place les recettes qui fleurissent dans le privé. Mais pour garantir la sécurité et la confidentialité des données, le gouvernement a décidé de confier ces infrastructures stratégiques à 3 groupes bien français. Nulle dimension européenne dans ce projet, alors que la standardisation des infrastructures cloud au niveau continental est le seul moyen de proposer des plates-formes aussi compétitives que celles d'Amazon ou de Microsoft. Si le projet Andromède n'est qu'un nouvel avatar du génie français qui consiste à faire plus cher et moins interopérable, les objectifs de réduction des coûts vont passer à la trappe au profit du discours habituel sur l'excellence française.
Selon Les Échos, « Orange fournira les infrastructures en colocation à Andromède et l'ensemble de la connectivité nécessaire aux clients d'Andromède ». La partie sécurité sera assurée par Thalès, une de ses spécialités. On ne sait pas encore quelle sera la contribution technologique de Dassault Systèmes, pas vraiment un poids lourd du cloud computing. « Ca avance dans le bon sens, mais on ne peut ne rien dire de plus pour l'instant», nous a simplement confié un porte-parole de Dassault Systèmes.
Enfin selon une source syndicale, le projet Andromède concernera tout d'abord « le domaine de l'e-santé, des données personnelles, mais aussi d'accueillir les données de type e-gouvernement ».
samedi 3 septembre 2011
Le marché du Social CRM : 1 Milliard de dollars dans un an
Selon Gartner, et vous comment intégrez-vous les réseaux sociaux à votre CRM ?
Au risque d’enfoncer une porte ouverte : les réseaux sociaux sont de plus en plus importants et gagnent une place prépondérante dans la société, notamment auprès des jeunes générations.
Mais Facebook, Twitter, Viadeo et autres Google+ sont aussi des outils qui intéressent d’autres personnes : les marketeurs et développeurs de solutions de type CRM. Ces réseaux, ce qui s’y dit et ce qui s’y échange ont en effet de plus en plus d’impact sur l’image d’une marque ou sur la publicité (en témoigne le concept de “viralité”).
Or jusqu’ici, ces informations de plus en plus complexes et hétérogènes (textes, photos, vidéos, liens, etc.) ne sont pas entièrement prises en compte par les outils traditionnels d’analyse. Leur modélisation en est encore à ses tout débuts. Et même si les solutions d’entreprise les intègrent de plus en plus, ces outils posent la question de leur retour sur investissement. Autrement dit, comment ce que l’on appelle déjà le Social CRM (analyse des réseaux, animations, création de communautés, etc) peut-il générer des retombées financières tangibles ?
Certains pensent que ce marché n’est pas encore mûr et mettra du temps à le devenir. Ce n’est pas l’avis du cabinet Gartner qui vient de publier une étude entièrement dédiée au Social CRM. Au delà des conseils aux éditeurs du secteur pour survivre aux mouvements de concentration et à la diversification qui s’annoncent, l'enseignement principal est que ce marché devrait générer un milliard de dollars dès l’année prochaine (contre 820 millions cette année et 625 l’année dernière).
Même s’il ne représente aujourd’hui que 5% des CRM en général, le Social CRM connaît un taux de croissance annuel à deux chiffres. Ces outils devraient donc rapidement gagner leurs lettres de noblesse.
Il n’en reste pas moins que beaucoup de décideurs considèrent avec méfiance les réseaux sociaux et ces outils. Et pour cause, étude de Gartner ou pas, le Social CRM a encore beaucoup à prouver pour faire ses preuves.
Et notamment son efficacité grâce à des produits de référence.
http://www.developpez.com/actu/36558/Le-Social-CRM-1-Milliard-de-dollars-dans-un-an-selon-Gartner-et-vous-comment-votre-CRM-integre-t-il-les-reseaux-sociaux/
Au risque d’enfoncer une porte ouverte : les réseaux sociaux sont de plus en plus importants et gagnent une place prépondérante dans la société, notamment auprès des jeunes générations.
Mais Facebook, Twitter, Viadeo et autres Google+ sont aussi des outils qui intéressent d’autres personnes : les marketeurs et développeurs de solutions de type CRM. Ces réseaux, ce qui s’y dit et ce qui s’y échange ont en effet de plus en plus d’impact sur l’image d’une marque ou sur la publicité (en témoigne le concept de “viralité”).
Or jusqu’ici, ces informations de plus en plus complexes et hétérogènes (textes, photos, vidéos, liens, etc.) ne sont pas entièrement prises en compte par les outils traditionnels d’analyse. Leur modélisation en est encore à ses tout débuts. Et même si les solutions d’entreprise les intègrent de plus en plus, ces outils posent la question de leur retour sur investissement. Autrement dit, comment ce que l’on appelle déjà le Social CRM (analyse des réseaux, animations, création de communautés, etc) peut-il générer des retombées financières tangibles ?
Certains pensent que ce marché n’est pas encore mûr et mettra du temps à le devenir. Ce n’est pas l’avis du cabinet Gartner qui vient de publier une étude entièrement dédiée au Social CRM. Au delà des conseils aux éditeurs du secteur pour survivre aux mouvements de concentration et à la diversification qui s’annoncent, l'enseignement principal est que ce marché devrait générer un milliard de dollars dès l’année prochaine (contre 820 millions cette année et 625 l’année dernière).
Même s’il ne représente aujourd’hui que 5% des CRM en général, le Social CRM connaît un taux de croissance annuel à deux chiffres. Ces outils devraient donc rapidement gagner leurs lettres de noblesse.
Il n’en reste pas moins que beaucoup de décideurs considèrent avec méfiance les réseaux sociaux et ces outils. Et pour cause, étude de Gartner ou pas, le Social CRM a encore beaucoup à prouver pour faire ses preuves.
Et notamment son efficacité grâce à des produits de référence.
http://www.developpez.com/actu/36558/Le-Social-CRM-1-Milliard-de-dollars-dans-un-an-selon-Gartner-et-vous-comment-votre-CRM-integre-t-il-les-reseaux-sociaux/
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