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jeudi 27 septembre 2012

Mise à jour du Guide d'implémentation : 5.6.0

Microsoft Dynamics CRM 2011 Implementation Guide

 La mise à jour 5.6.0 du Guide d’implémentation contient :

* Mise à jour de la liste des pré requis pour l'installation du client Microsoft Dynamics CRM pour Outlook.
*Ajout des paramètres en ligne de commande pour la configuration du client Microsoft Dynamics CRM pour Outlook.
* Ajout d'une remarque importante lors de la migration Microsoft Dynamics CRM 4.0 vers Microsoft Dynamics CRM 2011 : On ne doit pas renommer la base de données de l'organisation avant que l'import et la mise à jour soient finis.
* Comment installer des rôles séparés de serveurs Back End et Front End.
* Remplace le fichier XML de configuration pour DeploymentTools.
* Fichier XML d'exemple de configuration d'installation pour installer un rôle serveur Help sur un serveur séparé.
* Pré requis minimums et recommandés pour l'installation du client Dynamics CRM pour Outlook.
* Pré requis minimums et recommandés pour l'application web Microsoft Dynamics CRM.
* L'outil de déploiement ne peut pas être installé et lancé sur un ordinateur qui a Microsoft Office Outlook d'installé.
* Les certificats personnalisés créés en utilisant le modèle GNC sont incompatibles avec Microsoft Dynamics CRM.
* Renommage  de la base de données Microsoft Dynamics CRM.
* Mise à jour de la liste des pré requis pour l'installation de l'E-mail Router Microsoft Dynamics CRM.

dimanche 23 septembre 2012

Utiliser CRM 2011 et l'intégration SharePoint 2010 pour améliorer la gestion documentaire

Dynamics University - Fall 2012

L'efficacité d'une entreprise dépend des systèmes de gestion qui conduisent les processus du début à la fin. Microsoft Dynamics CRM fournit la capacité de gérer ces processus, s'ils sont dans le domaine de la prospection, de la gestion ou de la fidélisation de clientèle. Alors Microsoft Dynamics CRM fournit la meilleur solution de gestion sur l'expérience cliente. Il existe encore beaucoup de documents créés qui ont besoin d'être stockés et qui doivent être facilement consultables. Les entreprises ont besoin de décider où ces documents doivent être conservés et la meilleure façon de les rendre visibles pour les utilisateurs.

samedi 22 septembre 2012

Interview de Eric Boocock - Senior Product Marketing Manager chez Microsoft

CRMUG Magazine - FALL 2012

Eric Boocock suit Microsoft Dynamics CRM depuis la version 1.0, lorsqu'il était consultant en implémentation pour un intégrateur. Le produit est lié à sa progression de carrière, de consultant chez un éditeur, en passant chez Microsoft comme expert technique sur Microsoft Dynamics CRM Online, et actuellement dans le marketing de produit. Eric nous explique son travail et les innovations à venir pour les utilisateurs.

CRMUG : Tu as une histoire unique avec Microsoft Dynamics CRM, au début en implémentation comme intégrateur, en vendant pour Microsoft, et maintenant au support.
Eric Boocock (EB) : Actuellement, je fournit aux intégrateurs les outils pour des démos efficaces et partager des grandes histoires au tour de ce CRM. Le point de vue que j'apporte dans ce rôle est de fournir un contenu de haut niveau.

Bouygues Telecom s'associe à Microsoft pour lancer son cloud public

LeMondeInformatique.fr du 18/09/2012

D'ici la fin de l'année, la tarification d'une offre de cloud IaaS sera présentée par Bouygues Telecom Enterprises et Microsoft pour permettre à des PME d'accéder à des machines virtuelles et à des services de stockage en ligne. Les clients pourront choisir de faire héberger leurs données en France, dans les datacenters de Bouygues, ou en Europe dans ceux de Microsoft.

Un autre cloud public va s'ajouter à ceux qui existent ou se préparent. Cette fois, c'est Bouygues Telecom Entreprises qui entre en piste, aux côtés de Microsoft. L'opérateur français a choisi les briques technologiques de l'éditeur de Windows Server 2012 pour bâtir une offre d'infrastructure « as a service » qui sera commercialisée d'ici la fin de l'année, dans ses propres datacenters ou dans ceux de Microsoft. Les partenaires visent une clientèle de PME et d'ETI (entreprises de taille intermédiaire). Ils veulent leur proposer des services flexibles accessibles de façon simple, en leur offrant le choix du datacenter. Les clients pourront opter pour un hébergement de leurs données en France ou en Europe. La première option sera facturée un peu plus cher. Le détail de la tarification sera communiqué ultérieurement. Il y aura avant la fin de l'année des offres en self-service pour souscrire des accès à des machines virtuelles. Des offres de sauvegarde en ligne seront également disponibles d'ici fin 2012. L'un des objectifs est de proposer ces offres rapidement. Des solutions SaaS pourraient suivre.

jeudi 6 septembre 2012

Le « cloud computing » prend un nouveau virage en France

LesEchos.fr du 7/09/2012

Le projet Andromède a finalement débouché cette semaine sur la création de deux nouvelles sociétés soutenues par l'Etat à hauteur de 150 millions d'euros au total.


La France deviendra-t-elle une grande puissance du « cloud computing » ? Elle dispose en tout cas des moyens d'assouvir ses ambitions, pour mieux rivaliser avec le géant américain. Deux nouvelles sociétés ont en effet vu le jour cette semaine : Numergy, soutenu par SFR et Bull, et Cloudwatt, issu de l'association d'Orange et de Thales (lire ci-dessous). Tous deux ont reçu le soutien de l'Etat, la Caisse des Dépôts ayant injecté 75 millions d'euros dans chaque structure. Leur vocation : mettre à disposition des entreprises et de l'administration françaises des infrastructures informatiques capables d'héberger des données et des applications, accessibles à distance et sécurisées.

Cloud souverain : Orange et Thalès lancent Cloudwatt

LeMondeInformatique du 6/09/2012

Après l'annonce de SFR/Bull, c'est au tour d'Orange et Thalès de dévoiler leur cloud à la française. Son nom de baptême est Cloudwatt et son dirigeant Patrick Starck.

Réponse du tac au tac pour Orange et Thalès qui auront mis moins de 24h pour répondre au lancement de Numergy promu par SFR et Bull. Le second cloud souverain voit donc le jour avec comme nom de baptême Cloudwatt. Les participants Orange, Thalès et la Caisse des dépôts ont aussi entériné la nomination de Patrick Starck à la tête de l'entreprise. Celui-ci a été un ancien dirigeant de HP France, Compaq et CA Technologies EMEA. Pour mémoire, Cloudwatt bénéficie d'un financement total de 225 millions d'euros, dont 75 millions d'euros issus du FSN. La répartition du capital est de 44,4% pour Orange, 22,2% pour Thalès et 33,3% pour la Caisse des Dépôts.

A la différence de Numergy, Cloudwatt ne donne encore aucune indication sur ses offres. La stratégie, la feuille de route et l'équipe dirigeante seront présentées très prochainement, souligne un communiqué de presse.

mercredi 5 septembre 2012

Philippe Tavernier (Numergy) : « C’est la première entité de cloud public à vocation européenne »

ITespresso du 8/09/2012

Interview du président de la « centrale d’énergie numérique pour les entreprises » qui aborde le démarrage des activités de cette structure dite de cloud souverain associant SFR, Bull et la CDC. 

Les projets « Andromède » (ou comment favoriser l’éclosion d’un « cloud souverain » par le biais du programme des « Investissements d’avenir ») se concrétisent.

Fruit d’une alliance entre SFR, Bull et la Caisse des dépôts et consignations, Numergy est lancé officiellement en tant que « producteur d’énergie numérique au service des entreprises et des institutions ».
Philippe Tavernier, ex-Président de Sogeti France (filiale du groupe Capgemini), prend la présidence de la nouvelle structure qui vient d’être inaugurée.
Il revient sur l’ampleur de Numergy et aborde sa place sur le marché du cloud en France.
En attendant le projet miroir associant Orange et Thales.

(interview réalisée le 05/09/2012)

mardi 4 septembre 2012

SFR et Bull propulsent Numergy dans le « cloud »

LesEchos.fr du 05/09/2012

Dans la bataille du « cloud » à la française, SFR et Bull viennent de remporter une manche. Les deux groupes officialisent aujourd'hui la création de Numergy, la société développée en partenariat avec l'Etat -via la Caisse des Dépôts -et qui a pour vocation d'offrir des services de « cloud computing » aux administrations et aux entreprises. Avec cette annonce, SFR et Bull grillent la politesse à Orange et Thales, qui furent les premiers à initier un projet similaire, baptisé « Andromède ». Ces derniers pourraient toutefois procéder à une annonce dans les prochains jours.
La création de Numergy, basé à Vélizy, en région parisienne, fait suite à l'association en mai de l'opérateur télécoms et du groupe informatique et à leur désir de créer, avec le soutien de l'Etat, « la première centrale à énergie numérique d'Europe », répondant ainsi aux besoins croissants des entreprises en ressources informatiques. Comme prévu, la nouvelle entreprise sera dotée de 225 millions d'euros de capital grâce aux apports respectifs de SFR (47 %), de Bull (20 %) et de la Caisse des Dépôts. Philippe Tavernier, jusqu'à présent patron de Sogeti France, filiale de Capgemini, a été nommé directeur général vendredi, à l'occasion du premier conseil de surveillance de la société. « Philippe Tavernier possède une très bonne connaissance du secteur informatique. Il a aussi démontré une très forte envie de monter ce projet », commente Pierre Barnabé, le directeur général de SFR Business Team. Présidé par Guy Roussel, ancien patron d'Ericsson France, le conseil de surveillance est quant à lui composé de neuf membres, dont deux pour chaque actionnaire et trois indépendants.

Prêt à l'emploi

Trois offres commerciales sont déjà disponibles. Elles seront accessibles via un réseau de partenaires et de distributeurs composé de SSII, d'éditeurs de logiciels et d'opérateurs télécoms. SFR sera l'un des principaux promoteurs de ces offres pour leur lancement. Il sera également l'un des premiers clients, tout comme Bull -sans conditions préférentielles, précisent les dirigeants -, tout en étant aussi fournisseur. Dans un premier temps, les deux partenaires mettront en effet à disposition de Numergy leurs infrastructures informatiques et réseau. « Nous allons commencer avec deux "data centers", précise Philippe Tavernier. D'ici à 2020, nous prévoyons d'en construire une quarantaine, tous localisés en France afin de garantir la souveraineté des données de nos clients. »
Le contexte de crise n'inquiète pas le patron de Numergy. « La conjoncture actuelle incite les entreprises à adopter de nouveaux schémas de fonctionnement. Le modèle du "cloud computing" et du paiement à l'usage en est un. » La crise a justement incité les dirigeants à accélérer la création de la société. « Il était nécessaire de se positionner au plus vite sur ce nouveau marché », estime Philippe Vannier, PDG de Bull, alors que la concurrence devrait bientôt faire rage. Numergy, qui emploiera à terme 400 salariés, prévoit de générer 400 millions d'euros de chiffre d'affaires dans quatre ans, sur un marché estimé à 3 milliards.